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Je m'avançai et m'éloignai dans cet épais brouillard. Mes parents me firent un dernier signe de la main, je leur envoyai un sourire et continuai à m'avancer dans ce brouillard de plus en plus épais. Je ne voyais plus rien, je sentais ce vent si glacial. J'avançai jusqu'à arriver dans une ville. Elle était en ruine, et le brouillard toujours là, rendait cette ville encore plus sinistre que je n'aurais pensé. Certaines maisons avaient le toit détruit, d'autre n'avaient plus de porte. Au bout de la rue, ce trouvait un manoir, contrairement à toute les maisons, il était en parfait état. Il me donnait la chair de poule mais je décidai d'avancé pour y entrer. La porte grinça, ce manoir était bien plus grand que je me l'imaginais de loin.
- Bonjour ? dis-je en criant.
Aucune réponse ne suivie, juste un écho qui se propagea. La porte se referma. Je décidais de montée à l'étage pour y jeter un coup d'œil ... plus je montais et plus je sentais la peur se propager en moi. Je me sentais observée. Plus je monté plus le manoir paraissait vieux, des trous dans le parquet en bois , toile d'araignée et poussières ! Un couloir long et large se dressait devant moi, je me dirigeai vers une porte, elle menait sûrement à une chambre. Je me dressais devant celle-ci, et approchai ma main de la poignée et entrai. C'était belle et bien une chambre, d'après le reste de la décoration qu'il restait, j'aurais dit que c'était une chambre de garçon. Je jetai un œil sur les papiers photos neuf accrochés sur le mur. Pourquoi avoir accrochait des papiers blancs dans une chambre ? Cette question me trottait dans la tête. Depuis combien de temps ce manoir était-il abandonné ? A ce moment, une bourrasque de vent ouvrit la fenêtre, le temps était devenu gris et très sombre, on pouvait entendre le vent hurler de colère comme un tirant! Le vent glacé ! Une lumière blanche apparut devant moi, c'était étrange car j'avais l'impression de pouvoir l'entendre me murmurer de la suivre. Je ne sus quoi faire, je la suivis mais une personne entra avant même que je ne m'approche de la lumière.
- Non. M'interpela-t-il. Ne la suis pas ! Cria-t-il.
La lumière disparus et le temps -plutôt- beau fit réapparition .
- Mais tu es folle !
- Excusez-moi je ne vous connais pas pourquoi m'agressez-vous ?
- Même pas de merci ? Je viens de te sauver la vie !
- Je ne vous ai rien demandé !
- Très bien, la prochaine fois, je te laisse.
Cet étrange personnage sortit de la pièce. J'hésita à le rattrapé... Une minute, deux minutes, je fonçai le rattraper ! Attend lui hurlai-je. Il se retourna dans ma direction, j'étais essoufflée. Une respiration, je partis le rejoindre en descendant les escaliers à toute vitesse... Je traîner mes pieds dans la poussière des escaliers. Mes chaussures noirs devenaient grises plus je descendait.
- Je m'excuse pour mon aptitude mais je ne comprends pas ce qui se passe dans cette foutue ville fantôme...
- Il n'y a rien à comprendre ! Affirma t-il.
- Depuis combien temps es-tu ici ?
- Hum, n'en parlons pas s'il te plait... Maintenant sortons du manoir.
Il allait faire nuit, et devoir dormir dehors ne m'inspirais pas confiance,mais dormir à l'intérieur me semblais impossible et peu prudent. Je me retrouvait en territoire inconnu je n'avait pas le choix que de lui faire confiance. Bien que je devais resté sur mes gardes et ne pas m'éloigner de mon objectif: RAMENER LES VILLAGEOIS DISPARUS À NOTRE VILLAGE. Ce mystérieux et intrigant jeune homme, il nous avait trouvés un endroit où nous serons à l'abri , prêt d'une forêt, cela, nous permettra de pouvoir trouver facilement du bois pour faire du feu. Je dois dire que ce n'est pas si mal que ça... Non je rigole c'était vraiment pas beau et sale. Il me tendis un drap blanchâtre ,un oreiller moisi et puant.
- Si tu veux prend le matelas il est un peu vieux mais au moin tu ne dormira pas sur un sol. Me dit t'il
- Merci dis-je légèrement dégoûté. comment t'appelle-tu ?
Je possa tout prête sur "le matelas" pour m'allonger, quant à lui s'installa sur un tronc d'arbre qui avais surment du sculpté juste à côté de moi, le feu aux flammes incandescentes était en face de nous.
- c'est Noah
- comment ?
-mon prénom, C'est Noah
- Callie..

Il regardait les flammes rouges du feu qui brûlait le bois petit à petit... Je fermai les yeux et me laissai emporter par le bois qui brûler doucement.

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⏰ Dernière mise à jour : Mar 30, 2018 ⏰

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