Love de Lui

XLIX

Plus les préparatifs avance, et plus je sens le stresse me ronger.
Je deviens folle.
A cela s'ajoute le déménagement et le travail, de quoi vous faire perdre la raison.
Mais Adam est la pour m'épaulé, ce qui est rassurant. Il m'aide beaucoup, et supporte mon mauvais caractère.
Le pauvre, je le plaint. Vraiment.
Je ne sais pas comment il veux encore ce marié avec moi, alors que je lui rend la vie impossible.
Quand je lui demande pourquoi il reste avec moi, après que j'ai passé mes nerfs sur lui il me repond; " je reste tout simplement car je t'aime "
Il est parfait. Je ne pourrais rêvé mieux.

Adam est dans son bureau, préparent des dossier pour lundi. Quand à moi, je regarde des magasines sur le mariage, les robes et j'en passe.
Je veux que notre mariage soit aussi parfait que lui, je veux m'en rappeler chaque jours qui passerons.
Mais même si on ce mariait en cachette, il restera le plus jour de ma vie. Car il sera là, devant moi pour dire; " Oui.. Je veux faire de toi ma femme jusqu'à la fin de mes jours ".
A cette pensé mon coeur bat plus vite, et je l'imagine m'attendre devant l'autel.

Perdu dans mes pensées, j'imagine notre mariage. Je note sur un calepin ce que j'ai en tête, pour qu'Adam le valide après. Mais cela fait presque un mois que je remplis le calepin, de plein d'idées mais j'hésite encore.
Adam ma dit que si cela était trop dur, je pouvais lui demander de faire appel à une organisatrice de mariage.
Parfois j'y pense, mais je n'aurai pas la satisfaction d'avoir préparer mon mariage si j'en appel une.
Même si je lui dit l'idée de mon mariage, il ne sera pas aussi parfait que dans mes rêves.

Je souffle, ne savant pas quoi faire.
Je prend mon téléphone et chercher dans mes contacts le numéro de Leila pour lui faire par de mes craintes, lorsque je tombe sur le numéro de la boutique de mariée.
J'aimerais l'appeler, vraiment. Mais je ne sais pas si c'est une bonne idée, car la boutique me rappelerais Noah, mes première fiançailles et le désastre qui a suivi.
Je prend alors la tablette et regarde les boutiques de robes de mariée, je fais défilé l'écran jusqu'à tombée sur une boutique magnifique.
Je prend les coordonnées et l'appel.
Je lui parle de mes envie, le robe que j'imagine pour mon mariage avec Adam. Elle me répond que je peux essayer des robes cette après-midi, j'hésite avant qu'elle ne me parle d'une robe. Une description, une seule et mon envie de l'essayer prend le dessus. Je valide alors notre rendez-vous et appelle Leila, et ma mère.

En ce début d'après-midi, nous somme en route pour la boutique. Adam voulais venir pour mes essayage, mais je veux respecter les tradition du mariage. Donc hors de question qu'il voye ma robe avant le jour j, et puis cela lui fera une belle surprise.

Lorsque nous arrivons devant l'adresse de la boutique, je ne suis pas stressé. Je suis plutôt un peu effrayé.
L'endroit ressemble à un salon privé, vous savez la ou les célébrités ou les personnes riche vont acheter leurs vêtements. C'est vêtement qui ont au minimum 4 chiffres, mais lorsqu'on rentre à l'intérieur ma peur disparaît.
Le salon est spacieux, élégant et chic. Dans des ton de gris et de blanc avec quelques pointes de rose.
Magique.

- Bonjour vous devez être mademoiselle Rosayai, on c'est parler au téléphone plus tôt. Je vous invite à me suivre, si vous le voulez bien.

Je lui sourie, et la suis. Leila et ma mère sur mes talons, elles inspecte la pièces tout comme moi. Des étoiles pleins les yeux, nous nous asseyons dans un sofa.
Quelques minutes plus tard, la femme reviens avec une jeune fille d'a peux près mon âge et des coupes de champagne. Ma mère et moi nous servons, et Leila refuse poliment.
Je la regarde bizarrement, face à son geste bizarre. La dernière fois, elle avait beaucoup aimé la flûte de champagne au salon d'essayage.

Alors que je réfléchissais aux questions que je pourrais lui posée, sur son non envie a l'alcool qui ne lui déplaît jamais en temps normal la vendeuse revient avec une robe.
Celle qu'elle m'avait décrite par téléphone, l'imaginer était quelques chose mais la voir devant moi en est une autre.
Elle est bien plus belle que ce que je mettait imaginé, je sens que c'est elle la robe qu'il me faut.