•Un amour improbable mais pourtant•

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Salut moi c'est Jeonghan. J'ai 21 ans et je vis dans les quartiers pauvre de New York.

Mon passé est... comment dire? ... douloureux.

Mais je m'en suis remis, enfin, je crois. Je dis "je crois" car on ne guérit jamais totalement de ces blessures là. D'après moi en tout cas.

Vous voulez le connaître je suppose ? Et bien, je vais vous le raconter:

Quand j'avais un peu plus de 4 ans, mon père nous a abandonné ma mère, ma sœur et moi. Il disait que se n'était plus possible. Qu'il ne voulait pas continuer sa vie avec une famille dont il ne voyait aucun intérêt.

À la suite de ça à mes 10 ans ma mère c'est suicidée. Elle a juste laissée une banale lettre, en nous disant à moi et ma sœur de continuer à vivre pour elle.

Ensuite à mes 17 ans ma sœur a été tué par des yakusas devant mes yeux. J'ai juste eu le temps de m'enfuir sans me retourner. Après ça j'ai eu de gros problèmes d'argents. Je n'avais aucunes solutions. J'ai donc dû vendre la seule chose qui pouvait encore valoir de la valeur aux yeux de quelqu'un. Cette chose n'est autre que mon corps. Oui je suis un péripatéticien. Plus communément appelé prostitué. Je fais sa depuis 3 ans environ. Dès que j'ai eu mes 18 ans, j'ai commencé.

*

Je traverse en ce moment une rue sombre que j'ai l'habitude d'empreinter. Je suis habillé d'une chemise complètement déboutonnée, assez courte au niveau des manches, noir, et pour accompagner cela je porte un jean slim très moulant. C'est ma tenue de travaille, après tout il faut faire envie.

Mais là, j'ai fini. Je me rend chez moi.

Arrivé au milieux de cette rue, j'entends des bruits, et d'un coup un homme sort de nulle part et me plaque contre un mur. Il pose une main sur ma bouche et l'autre tien un couteau qu'il à positionné sur mon cou.

... : Tu cris et t'es mort! Compris?!

Je hoche la tête positivement. Il enlève sa main de ma bouche pour la positionner sur ma cuisse. Il retire le couteau de mon cou pour le ranger dans l'une de ses bottes. Ensuite il positionne sa main qui tenait le couteau sur ma taille. Il entreprend de m'embrasser le cou. Lorsque ses lèvres son posées sur ma peau je lui dis:

Jeonghan: C'est pas gratuit.

Il déloge sa tête de mon cou et me regarde interrogatif.

Jeonghan: Tu crois que je me trimballe dans cette tenue car ça me fais plaisir?

Il s'écarte un peu de moi et me regarde de haute en bas. Je le vois me faire un grand sourire, que je qualifierais de taquin.

... : Tu l'auras ton fric si c'est ce que tu veux.

"🍋"

Il reprend où il en était. Il remonte ses baisés jusqu'à atteindre ma bouche. De là, commence une bataille langoureuse entre nos deux langues. Bataille qui s'arrête une fois que nous n'ayons plus d'oxygène. Il descend ses baisés dans mon cou, jusqu'au début de mon torse. Il passe ses mains dans mon dos, tandis que l'une des miennes s'est réfugiée dans son cou et l'autre dans ses cheveux noirs en bataille. Je n'aurais jamais pensé qu'il puisse avoir les cheveux si doux. Cette douceur me procure des sensations encore étrangères pour moi, mais pas désagréables. J'étais tellement dans mes pensées que je n'avais pas remarqué qu'il avait déjà descendu la fermeture de mon pantalon, et qu'il entreprenait maintenant de l'enlever. Un vent froid me passe sur la peau. Ce qui me fait prendre conscience que je suis entrain de faire ça en pleine rue. C'est la première fois, d'habitude c'est souvent dans la voiture du client ou dans un motel. Seulement ce vent ne me donne pas froid. Il ne fait qu'attiser la chaleur en moi. Cette chaleur que seul cet homme a réussi à déclencher. Il enlève ma chemise d'une main tandis que l'autre est entre mes reins. Avec sa langue il taquine l'un de mes tétons déjà durci par le plaisir qu'il me procure. Moi qui étais d'habitude dégouté de cet acte de chaire, je le trouve beaucoup plus attrayant maintenant. Il s'arrête et me regarde intensément dans les yeux. Je pus remarquer qu'il a des yeux magnifiques. Il m'embrasse encore une fois langoureusement. Tout en le faisant, il passe ses mains sur le rebord de mon boxer pour l'enlever violemment. Il me porte ensuite et me pose sur une pile de cartons qui se trouvait à côté de nous. Tandis que moi je passe mes mains sous son tee-shirt pour y découvrir une incroyable musculature. Je le lui retire pour qu'il soit torse nu. Je contemple ses abdos en me mordant la lèvre inférieur de retenue, avant qu'il ne m'embrasse une nouvelle fois, et ne passe sa main sur ma partie intime. Je gémis, de façon peut viril, lorsqu'il commence des mouvements de poignet assez lent. Je le sens sourire contre mes lèvres puis me dire d'un air séducteur:

•Un amour improbable mais pourtant•Où les histoires vivent. Découvrez maintenant