7-La conversation

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Je suis assise sur un banc à côté d'Alice, sa fait une semaine qu'on se fréquente. C'est une fille vraiment super, on s'entend bien elle et moi. Hier, nous avions présenter notre peinture devant notre classe d'art. On à opter à faire un tableau d'art contemporain, avec des couleurs vives mais un peut sombre, on à voulue faire une évolution dynamique, une persévérance personnelle du tableau, ce qui à donner une alliance des couleurs.
"Samedi, on va en boîte? Dit-elle, tout en restant concentré sur son livre.
-Impossible.
-Pourquoi? Elle me se mis à me fixer.
-Je travaille tout les soirs, l'oublie pas. Dis-je en me levant et en prenant mon sac.
-Comment tu fais pour te concentrer sur les cours en travaillant tout les soirs? Elle se leva et on marcha dans les couloirs de l'université.
-Je sais pas pour tout de dire. Dis-je en riant. Bon j'te laisse, je me dirigea vers ma salle de classe.
J'entra dans la salle de classe, et vue Amélie me fixer méchamment. Je roula des yeux et partit m'asseoir à ma plaçe habituel. Elle se vexe pour rien cette fille, bon j'y suis allez un peut fort en faisant sa, je devrais peut-être allez m'excuser. Je le ferais après les cours.
Je l'attend devant son casier, elle y vient toujours après les cours. Je la vois arrivez, elle à l'air choquer de me voir ici.
-Qu'est-ce que tu veux? Dit-elle avec le même regard du cours de ce matin.
-Je voulais m'excuser pour ce que j'ai fait la dernière fois, c'est que...
-Pas la peine de te justifier, je ne te pardonnerais pas.Elle me poussa et ouvris son casier."
Je part vers la sortit de l'université. Je regrette d'avoir fait ça, elle a toujours était tellement gentille avec moi. Elle s'inquiétait toujours de comment j'allais, même si elle était très collante parfois. J'ai perdue une amie en or pour une connerie comme ça.

Je suis devant mon ordinateur, je cherche des toiles à présenter pour après demain. J'aurais dû me mettre à rechercher une œuvre depuis longtemps, mais je n'ai pas vraiment eut le temps on va dire. Je sens que je vais y passez la soirée. Je part ouvrir mon armoire et en sort une grosse boîte, ou plein de tableau s'y trouve. J'en prend un assez particulier pour moi, je l'ai acheter à mes quinze ans. Je ne sais pas, sa à était comme un coup de foudre pour moi, c'est une peinture abstraite rouge et bleu. C'est une véritable peinture à l'huile. C'est un tableau horizontale livré sur un châssis en bois. Les bord du tableau sont peints et il est signé "Jeff". Maintenant je dois écrire ce qui m'inspire dans cette toile pour mon oral.

Je suis à coter du bar, j'attend que Cameron me donne la commande d'une table. On parle un peut, enfin il me demande juste comment je vais depuis la dernière fois. C'est pas comme si, j'avais perdu quelqu'un franchement. Toutes les conneries que son frère peut me faire maintenant ne m'atteint plus. Il met les cinq vers de Malibu, c'est une liqueur aromatisé à la noix de coco. À cause de ce travail, je vais commencer à tout savoir sur les boissons alcoolisées.

Moi, Cameron et Fanny sommes en pause. On est dehors, on parle un peut entre nous. Cameron et Fanny fument une cigarette. C'est la première fois que Fanny et moi parlons ensemble, elle travaille aussi au bar, elle à vingt-six ans, ses deux bras son tatoués, elle a les cheveux rouge, mais elle reste très jolie. Ils se mettent à parler entre eux, à ce que je comprend Fanny à une fille de onze ans qui est assez rebelle.
"Hailey, je me retourne et vois Alice.
-Alice, qu'est-ce que tu fais la?
-Je voulais voir un peut les lieux où tu travaille, dit-elle en riant.
-Alors, je te présente Cameron et Fanny.
Ils font tous connaissance ensemble, puis Fanny et Cameron rentre car ils ont fini leurs pose, moi il me reste encore dix minutes.
-J'ai envie de pissez, dit-elle en se tortillant et j'éclate de rire.
-À cette heure la, les toilettes doivent être dégueulasse j'te conseille pas.
-Je vais pissez la bas, accompagne moi tu vas faire le guet.
Elle me prend le bras et me traîne vers l'arrière de la boutique derrière un buisson. Je n'arrive pas à m'empêcher, alors j'éclate de rire et elle me frappe. Je met donc à faire le guet.
-Putain il caille. Se plaint-elle.
-T'avais qu'à pissez dans les toilettes et t'aurais choper une maladie.
-Mais sérieux, t'a pas du papier?
-Tiens, dis-je en arrachant une feuille du buisson.
-Salo...
-Chut.
Je vois deux mecs sortir de l'arrière boutique et je remarque que c'est mon patron avec l'un des mecs de l'autre soir.
-On en reparlera une autre fois, mais pas dans mon bar! Ce qu'on fait la bas, reste la bas. Dit-il en criant sur le mec costaud.
-Bien sûr, mais tu devrais régler ces choses au plus vite.
Il hocha la tête et rentra dans l'arrière boutique en claquant la porte. Le tatoué venue dans notre direction.
-Merde, viens. Dis-je en l'attrapant par la main. "
Il n'y avais pas beaucoup de voiture alors on ne pouvait pas se cacher derrière une. On se mit à courir vers la petite forêt qui se trouver derrière le bar. On l'entendais crier "Arrêtez vous, bande de putes". On traversa la petite forêt et on se cacha derrière un immense camion. Alice me regarder apeurer sans rien comprendre et j'étais dans le même état qu'elle. On pouvait entendre les pas de l'homme courir dans tout les sens et crier. Puis plus rien, mais on l'entendais parler comme si il était au téléphone. "Dave, deux putes nous ont vues dans notre discussion tout à l'heure", "Je sais qu'elles ne savent pas de quoi on parle, mais imagine que c'est Kate qui les a envoyer", "Je ne suis pas parano, j'essaie de protéger nos arrières"," Si, c'est deux putes connaissent l'un d'entre nous. Elles vont de douter de quelque chose, et je ne veut pas de fouine dans nos affaire","T'a raison, on en reparlera plus tard".

On resta derrière le camion pendant une trentaine de minutes sans rien dire, pour être sur qu'il soit partit et on se leva pour partir mais on observée toujours les environs pour êtres sur qu'il soit partit.
"C'était quoi ce bordel? Dit-elle au bord de la crise de nerd.
-J'en connais pas plus que toi.
-C'était qui ces types?
-Tu te rappelles quand je t'ai dit qu'un mec m'a frappée au fesse quand je travaillé, c'était lui et l'autre mec c'était mon patron. Dis-je choqué par tout sa.
-Mais de quoi ils parlaient?
-J'en sais rien.
On à décider que pour cette nuit, elle allait dormir chez moi. On se poser toutes sorte de question pendant le trajet, on se demandaient de quoi ils parlaient. Si ils était dans un gang, si il faisait du trafique, si ils séquestraient des gens. Toutes sorte d'idée sordide quoi.

BrokenOù les histoires vivent. Découvrez maintenant