Whitney. Deux mois après...J'étais en bas de chez moi, je parlais avec ma go sur Flor, lorsque je le vois. Il était avec ses potes il rigolait. J'ai commencer a sourire toutes seule.
— Pourquoi tu souris? On dirait une fo.. Ahhh, j'ai compris. Disait-elle.
Je le regardais, mais pourquoi il m'a pas appelé? Il n'est pas censé être arrêté? il tourne le regard vers nous, mon regard croise le sien. J'ai tourner la tête. Je l'entendais crier mon prénom mais j'ai pas du tout calculé, flemme. Il donne pas de nouvelle pendant deux mois, sois disant il c'est fais arrêter. Je sens qu'on me prend violemment par le bras.
— Eh, désoler toi, faut que je lui parle. Il disait sa à Flor.
Il me sourit, il veut que je meurt ou quoi? Son sourire 😍.
— Pourquoi tu souris même, idiot. Dis-je.
— Mais wesh ta quoi?
— Continue avec tes wesh, t'es pas censé être arrêté ?
— Ouais mais je suis sorti avant, tu vois?
— Ouais ouais mais t'aurai pu m'appeler ça fait quand même deux mois!
— J'suis sorti y a pas longtemps, tu vois, et puis je voulais te faire une surprise.
— Mmh... T'es grave louche toi, je le sens pas du tout ce que tu me dis. Pourquoi ta été arrêter alors?
— Ce soir je t'invite au restaurant.
— Je m'en fou, pourquoi ta été sois disant arrêter?
— Ouais je viens te chercher à 20h30 en bas de chez toi.
— Je t'ai poser une question non?
— As-y à plus, ma grosse.
Mais il est insolent cette enfant, je répond pas et lui lance et regard noir. Il rigole et je rigole aussi, va savoir pourquoi.
Jemima.
Ce soir j'ai trop envie de manger dans un restaurant, sérieux. Un buffet à volonté, ou je peux me resservir autant de fois que je veux.
— Lau?
— Oui?
— Ce soir y a pas un buffet à volonté quelques part?
— Non et j'ai pas envie que tu devienne encore plus grosse que tu ne l'es. Mon fils il va se noyer dans ton ventre tellement que tu prends du poids, calme toi.
Je fronce les sourcils, attendez il m'a insulter de grosse! Mais c'est sa mère la grosse vache oui, tchip.
— C'est ta mère la grosse ouais, ferme ta bouche tu va me ramener dans un restaurant ce soir que tu le veuille ou non, imbécile.
— Parle moi, autrement.
— Le jour où tu aura mon respect, je te parlerais autrement.
— Je pensais que tu avais changée...
— Non, je suis toujours celle d'avant. Arrête de croire que je vais changer pour toi, moi je t'ai jamais aimée je me suis juste servi de toi. Je me demande même ce qui m'a prise de faire un enfant avec toi, tu me dégoute, connard.
— D'accord, de toute façon tout ce que tu fais, se retournera contre toi.
— Je m'en fou complément, imbécile.