Chapter 1. The begin.

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Mon père m'avais dit de ne jamais s'attacher à personne. Mais dans ce cas comment
peut-ont vivre ? On reste seul, enfermé chez soi, asocial. Ce n'est pas une vie, et pourtant parfois je me dis qu'il a raison. Et il avait raison.

J'ai toujours aimer Vancouver (rectification : J'aimais, les soirées y (était)géniales, et les gens toujours des pur connard.).

Ma mere hurle de me dépêcher de me préparer plus vite sinon je raterais sont foutu rendez-vous. Mais ait-elle stupide au point de penser que j'aimerais aller chez son psy ? Si je fais ça c'est pour elle, et elle ne se demande pas pourquoi je ne veux plus parler. Du moin à elle et aux gens autour de moi. Je parle souvent mais pas à tout le monde. Demain, à cette heure je découvrirai mon nouveau lycée. Merde, j'ai pas envie d'y aller, ni à cette putain de thérapie, ni au lycée. Et pourtant je suis entrain d'enfiler un pantalon pour y aller.
En decendent les escaliers je compte chaque marche qui me rapproche de plus en plus de ma mère, puis de la voiture, et ensuite du psy.
"-Chérie ! Mme Jonson ne va pas attendre, elle est débordé la pauvre... Ah ! Te voilà ! Je croyais que tu avais changer d'avis et ne voulais plus y aller, suis-je bête ?"
Non, tu avais raison. J'aimerais lui le lui dire mais mon pacte de garder le silence serais rompu, et ça c'est la seule qui me reste, le silence.

Bientôt lundi, bientôt la reprise, j'avoue je stresse que de ça, sans doute car je ne sais pas ce qui va se passer. Mais bon c'est tout ce que j'ai à répondre à la psy devant moi. Enfain répondre vraiment dans ma tête sinon elle me pose des questions comme : est-tu triste ? C'est les seule réponse que je me permet de répondre seulement par oui ou non de peur de faire une gaffe.
Jamais je n'aurais cru rester plus de une heure dans son bureau même sans parler. Si on peut appeler ça parler. Je ne pense pas que lui répondre par oui ou non sur papier tienne de la discussion. J'aurais très bien pu m'en passer moi, mais mere non, elle en a besoin en croyant que ça me ferais du bien. Ce n'est pas le cas. Rien ne pourra effacer, ce qu'il c'est passer m'a changer et plus personne ne le changera.

Pendant les vacances je me suis fais Promettre de garder le silence, de ne pas m'attacher aux autres et pour ce faire : rester discrète. Ma mere et moi étions aller à l'accueil pour m'inscrire et nous étions allés voir la secrétaire et elle était le contraire de mes attentes. Quand nous sommes rentrés la salle était tellement jaune que à la lumière du jour c'était insupportable, les chaises verte et le comptoir rouge donc à première vu c'était désagréable. Ensuite une odeur nous est survenu, écoeurante comme la femme au comptoir qui finissait sont paquet de cigarettes. Elle fumait sans nous prêter attention, elle avais les cheveux gris en pétards, un col roulé violet et des lunettes jaune qui me rappelais cette salle. Elle était loin d'être la secrétaire sexy en mini jupe. Quand la vielle femme nous vit elle se mît a recraché la fumée entre ses dents.
"-Je ne vous attendais pas de si tôt ! Elle regarda sa montre verte, oh ! Non désolé, vous êtes à l'heure, je suis en retard..."
Puis elle éclata de rire ce que ma mère imita pour ne pas rendre la situation gênante. J'aurais bien fais de même mais un son serait sortie de ma bouche et il ne fallait pas. On se dirigea vert le comptoir et tant dit que la dame rangeais vite fais son bureau. Assit devant son bureau et ordonnant ses papier la vielle dame commença à discuter avec ma mère. Et puis 10 minutes s'écoulaient depuis que je n'écoutais plus, la dame (qui s'appelle Mme McFrey) nous avais accueilli dans son bureau derière. Je n'avais même pas remarquer la porte avant, mais ce que j'ai remarquer sur le comptoir c'était "50 nuances de Grey", un marque-page dans les derniers chapitres. Elle devait s'emmerder, toute une journée à rien faire, juste à attendre des gens. Là, j'éprouvais de la compation pour cette vielle femme. La discussion m'attira soudainement quand j'entendis mon nom.
"- Amaryllis, jeune fille, ça va ? Je ne t'ai pas entendue dire un mot. "
Ma mère soutenant le regard de McFrey comme si elle se posait la même question. Mais hey maman ! Tu crois que je vais me tourné vers McFrey et dire "-désolé, ça fait 285 jours que j'ai pas parler." Je vit enfain un regard s'illuminé dans ses yeux. Elle se tourna vers la dame et lui sourit.
"- Madame, j'ai oublier de vous dire quelque chose d'important. Ma fille ne parle pas, et comme si ma mere se doutait de la réponse de McFrey elle ajouta : à personne.
Oh... Cela explique mieux cela... Bon je vais voir ce problème plus tard avec le directeur. "
Le plus souvent les gens pensent que je suis muette, née comme ça mais non. Ce qui c'est passer m'a permis de changer de tournant, maintenant j'irai vivre chez Marie, soeur de mon père. Marie a une petite maison à 2h de chez moi, elle est vendeuse dans un magasin, parfois elle y travaille la nuit, car ça rester un des seuls magasin de la ville qui est ouvert la nuit. Je serais donc seul le soir ou alors le matin. Mais ça ne me dérange pas j'aime la solitude, c'est ma nouvelle amie.
"- Amaryllis, doit choisir une option, c'est obligatoire.
- Et que proposer vous ?
- Théâtre, musique, sport, art, et euh non c'est tout."
Théâtre ? Elle se fiche de moi ? Je vois bien une muette faire du theatre, bon vous allez me dire " oui, mais tu peux toujours joué le rôle d'une muette..." faut pas abusé, il vont pas rajouter une muette dans "Romeo et Juliette" juste parce ce que je suis dans leur casting ou sinon " bah alors tu peux être assistante où tu t'occuper des costumes" mais y'a déjà des pro pour ça donc je vois pas en quoi je serais utile. Musique uhmm non, je suis nul en musique, enfain j'ai jamais vraiment asseyé mais je serais ridicule à côté de ceux qui sont fort et cette année je dois être discrète. Sport, je pense que c'est mon truc, avant je courais tout les matin, maintenant c'est plus le cas mais en quelques jours ou semaines je retrouverai mon endurance et puis voilà. Je pris un petit papier et un crayon sur le bureau de McFrey et la regarda avec insistance pour connaître sa réponse.
"-Oui, vas-y, tu peux les utiliser."
Alors j'écrivais je choisi l'option sport et déposais le crayon et rendais le papier à la dame. Elle hochait la tête et écrivais ensuite mon souhaits sur mon inscription. Elles finirent toute deux mon papier et puis McFrey me passais la charte que je devais signé. Je jettais un coup d'œil mais de toute façon c'était toujours les mêmes conneries qu'on est obligé de signer sans donné notre avis.

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⏰ Dernière mise à jour : Aug 26, 2016 ⏰

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