Chapter Six

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Aprèsavoir passé la nuit à réfléchir de comment aborder le fameuxsujet un samedi pour juste profiter de moi ou sur le fait que l'onétait lundi matin et qu'il ne m'aie toujours pas donner de nouvelle.En tout cas je ne comptais pas le laisser me torturer comme il lefessait si bien. Il était temps que j'aie des qui concernait le motà quatre lettres : « NOUS ». En fait je ne savaispas si il y avait un « nous » et pire encore je ne savaismême pas si il y avait un « je », je me posais tout untas de questions sur ça, sur le fait qu'il m'est aie appeléréponses et ce, dès aujourd'hui.

J'étaisarrivé en classe quand je vis Mr Whiteford entrer pour donner soncours.

« Sije vous dis, la peur ? À quoi pensez vous? »

Unejeune fille leva la main

« OuiMrs Harvey »

« Lapeur qu'une certaine chose se produise »

« Ouiil y a ce genre de peur et il y en a encore pleins d'autres »

Jepris mon courage a deux mains et dis.

« Lapeur de ne pas savoir ce que quelqu'un ressent pour nous »

Ilsavait très bien que ce message lui était destiné alors je lefixai du regard tout le long.

« Ouimais moi je vais vous parler à propos de la peur de s'exprimer alorsvous allez tous prendre une feuille de papier écrire une peur quevous avez et on examinera tout ça ensemble, ne vous inquiétez pascela restera anonyme, bien alors commençons »

Toutau long du cour je ne fis que le dévisagé, même si le contemplerne me dérangeait aucunement, mon but était de l'intimidé afinqu'il sache que l'on ne laisse pas un garçon sans nouvelle aprèslui avoir ôté sa virginité. A la fin de l'heure, comme je m'yattendais, Darren enfin Mr Whiteford m'appela.

« Nonmais à quoi joue-tu ? »

« Vousme demandez à quoi je joue ? Vous plaisantez j'espère, vousm'avez plantez sans nouvelle pendant deux jours et vous venez commeune fleur »

Ilse contentait juste de me regarder et de m'écouter me plaindreensuite il se leva, entreposa ma tête dans ses mains si grandes etsi sensuelles ensuite il plongea ses yeux profondément bleus dansles miens et dit :

« Toby,tu n'es pas un garçon comme les autres il y a une certaine chose quim'attire chez toi, dès le moment où tu es arrivé j'ai su que tun'étais pas pareil mais si je m'en tiens aux règles nous deuxc'est impossible »

Sousses paroles pleines de sens je me contentai de dire :

« Lesrègles sont faites pour être brisées »

Toby et l'autre garçonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant