chapitre II

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Depuis se dîné d'affaires, que je juge catastrophique, parce que je sais qu'il ne viendra pas signé de contrat à New York , j'en conclu que se voyage met était inutile enfin presque, j'ai pleinement profiter du gorille en guise de chauffeur bien sûr. J'ai fait les magasins de tout Milan à en faire brûler ma carte de crédit, j'ai achetés de tout et j'ai profité énormément de la nourriture italienne, Je voudrais aussi profiter d'un italien, mais mon italien est cattivo. Se soir est mon dernier jour sur Milan, et je refuse de ne pas profité d'un italien.

Bien qu'Antonio soit un homme matcho, je le suis reconnaissante de m'avoir laisser son gorille.

Se soir je sort, et je compte bien m'amuser . Je me glisse dans une robe moulante noir légèrement transparente sur certains points et une paire d'escarpins mauve. J'intensifie mon regard en me faisant des yeux charbonneux.

Il est vingt-deux heure quand j'arrive dans une boîte de nuit déjà bondé.
J'enchaîne les verre à shot. Je sens le liquide réchauffer mon corps, me brûler la gorges et une fois que je me sens légèrement éméché je me dirige vers la piste de danse.
Je laisse mon corps suivre le rythme de la musique, me laissant aller. Je suis vite attiré dans les bras d'un homme plus que séduisant avec des yeux vert et musclé, hum les italiens.
Sa main se pose sur ma hanche, puis sur mon cul, il me dit quelque chose à l'oreille mais je ne comprends strictement rien. Je lui souri et passe ma main dans ses cheveux il m'attire à lui et je sens son torse musclé. Les italiens.

« dansez avec moi. » me murmure une autre voix à l'oreille

Je ne suis pas ivre au point d'entendre des autres voix, je me détache du blond et me retroune de façon plus qu'aguicheur pour faire face à cette voix suaves. Au moment même ou mes yeux se pose sur se regard , je brûle je me sens consumé. Il se tient devant moi, à une distance que je trouve si proche et à la fois si éloigner. Il ne me touche pas juste son souffle chaud s'écrase sur mon visage. Je me mord la lèvre inférieure et continue de ma déhanché au rythme de la musique, il suit mon rythme, ne me quittant pas des yeux et ne me touchant toujours pas.

Si il pense que le toucherais la première il se met le doigt dans l'oeil, je peux parfaitement joué se petit jeux aussi.

Je continue à danser de façon sensuelle comme la musique qui se joue, les spote de lumière changeant régulièrement de couleur, je peux voir son regard s'assombrir des qu'une lumière plus clair éclaire son visage. Je continue de danser face à lui sans jamais le quitté des yeux.

Je commence à étouffer j'ai besoin d'aire frais, je le laisse sur la piste et part vers la sortie.
J'inspire profondément une bonne bouffer d'air,pour me remettre les idées en place, c'est tout simplement insupportable, il ne m'a jamais touché et pourtant mon corps est parcourut de frissons. Je ferme les yeux et essaye de remettre mes esprits en place, ja plaque ma tête sur un mur et fait le vide.

Tandis que je remet de l'ordre dans mon esprit, je sens  un souffle chaud sur mon visage, j'ouvre les yeux perplexe et je me fait brûler par son regard. Je reste droite et soutien son regard.

Il laisse un demi sourire apparaître au coin de sa bouche, tout en avançant davantage vers moi, je sens son torse musclé me frôlé à chacune de ces respiration.

« Si vous étiez un homme, vous seriez sans doute un adversaire redoutable.

- Être une femme ne m'empêche en aucun cas d'être aussi puissante que vous. »

Il plongea son regard davantage au mien, j'avais l'impression qu'il pouvait lire en moi et détecté le moindre de mes fails. Il laissa échapper un rire et s'abaissa à ma hauteur.

« Je vais vous montrez, qu'être une femme pose un problème »

Je fronce légèrement les sourcils, j'étais un peu éméché, mais je ne pouvais supporter qu'un homme puisse se sentir supérieur à une femme. Je lève la main prête à lui infligé une baffe qui ne sera pas prêt d'oublier. Mais il attrape ma main et me plaque violemment au mur et levant mes deux bras au dessus de ma tête.

Ce contact brutale, et son souffle chaud me fait frissonné, je dois me reprendre immédiatement.

« Et vous allez rapidement comprendre qu'être une femme pose problème.» dit-il en me lâchant.

Je le regardait monté dans sa limousine, je me concentraient pour que ma respiration sois plus calme ainsi que les battements de mon coeur.

Ses mots, son corps tournoyaient dans ma tête, fait le vide. Je devrait impérativement faire le vide dans ma tête , mais c'était impossible mon corps et mon esprit restait concentrer sur lui.

Je devais penser à autre chose, et rapidement je me concentre sur une chose bien plus importante. Le pouvoir.

Mon existence même était basé sur ça le pouvoir. Je ne laisserai personne détruire se que j'ai construit. Jamais.
Qu'ils essayent de m'arracher ma couronne. Mon royaume jamais je l'abandonne.

Je rejoignait l'hôtel, fait mes valises, et pris une douche brûlante, j'avais trois heures de sommeil avant de retourner à New York.

J'étais assise dans le jet à lire mes mails. Je m'absente une semaine et un bordel pas possible naît à beauty woman. Je n'aurais pas le temps de dormir, dès que je poserais le pied à New York j'irai remettre les pendules à l'heure.

Domine-moi. Si tu peux. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant