Le bonheur nous nargue. Il nous nargue quand il se présente à nous comme si il avait peur ; peur qu'on soit heureux. On se sent, on se ressent seul dans la crainte, la crainte d'être deux. On bâillone nos sentiments avec les liens incontestés de la raison, on les mène ; car jamais nos sentiments ne doivent se lire de l'extérieur. La mort est trop brusque, trop brutale, trop soudaine et notre intérieur lui explose ; c'est sans protocole, sans protection, et sans gants qu'on lâches tous ceux qu'on aime et qu'on aimait disparaissent les uns après les autres et sur nos peaux... Aucunes traçes, aucunes traçes de leurs caresses. Les souvenirs, c'est tout ce qu'il nous reste. Ils partent et nous on reste là sur cette < Dûnia > avec pour unique consolent nos larmes de regrets, tout ce qu'on a pas su dire, tout ce qu'on a pas su lire et tout ce qu'on a fait subir. Ils meurent rejoignant l'au-delà et nous on vit... On vit avec nos secrets d'amour et nos larmes de regrets frère mais c'est comme ça.
J'ai trop de fierté pour te le dire mais je creverai pour toi, prends mon coeur en otage si tu veux mais reste auprès de moi...<< Réveille toi, ne me laisse pas, j'ai besoin de toi. Wesh bouge au moins un doigt. Un doigt pour fermer la grande gueule a ces gamins. Allez réveilles toi ! >>
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La Plume Haineuse
Non-FictionL'encre de Bulma, la plume à Végéta On.Avance.Toujours.Seul.Frr