Aymen t'étais plus que mon cousin, t'étais mon grand frère. On dit que la mort de préviens pas et en voici la preuve,
Depuis que t'es partis j'ai une haine incontrôlable en moi, une haine si forte que j'me reconnais même plus. Mon organe vital est en chute libre. C'est difficile terriblement difficile. Alors c'est ça quand quelqu'un meurt ? On te pleure pendant un moment puis on oublie ce que t'étais jusqu'à t'oublier ou se souvenir de toi mais vaguement ? Je peux pas concevoir ça en moi. Ça me ressemble pas. Surtout que j'pourrais jamais t'oublier. T'avais ce gros caractère, un mental d'acier, un gros coeur. '' Guerrier d'la street '' tu te fesais appeler. Pour moi t'étais mon frère, ma moitié. Faut dire qu'on a vécu beaucoup de choses ensemble. T'étais mon appuie dans ce monde. J'suis trop nostalgique oui je sais, je devrais pas maiq je peux pas m'empêcher. J'ai du mal à réaliser encore jusqu'au jour d'aujourd'hui que tu es parti. J'ai la gorge nouée rien que d'y penser que maintenant t'es plus là. Et sa me fait câbler chaque fois que j'y pense,j'en veux au monde entier, toute cette haine en moi remonte à la surface, alors je rejette toute sorte d'approche ou de contact humain. Toutes ces attaches sont nocifs. Perzonne n'a idée de ce que je ressens au plus profond de moi. Tout ce qu'ils voient là c'est la façade parce que en vrai depuis que t'es plus là je suis détruite. Tu me manques énormément et ce manque la j'arriverai jamais à le combler. T'es dans mon coeur, ancré en moi.
L'amour que je te porte est plus fort que la mort. Il est indescriptible. Un amour éternel.À toi mon fréro partit trop tôt...
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La Plume Haineuse
Non-FictionL'encre de Bulma, la plume à Végéta On.Avance.Toujours.Seul.Frr