Chapitre 1

2.6K 103 61
                                    

Note de l'Auteur : Hey ! Voici une petite fanfic que j'avais bien envie de faire depuis quelques temps. J'ai remarqué que sur ce couple, il y avait souvent des AU Mafia et tout, mais rarement des AU Esclave, donc en voilà un, j'espère que vous aimerez. Risque de OOC mais vu le contexte je me dis que c'est plutôt normal en un sens.

Disclaimer : Les personnages d'Assassination Classroom ne m'appartiennent malheureusement pas et sont la propriété exclusive de Yusei Matsui.

- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -

Slave

Merde. Il s'était fait chopper. Lui qui voulait juste protéger ses amis, oh pour sur il les avaient protégés, mais maintenant, c'était lui qui était dans la merde. Dire qu'il avait enfin réussi à avoir une vie autonome pendant plus d'un mois. Et maintenant, il ce retrouvait de nouveau à la case départ. Au moins, il espérait que Nagisa, Nakamura, et les autres, eux, aient réussis à y échapper. Avec un peu de chance, il tomberait sur un maître pas très fort, et il pourrait facilement s'en réchapper. Ce qu'il appréciait moins, ce serait qu'il allait devoir subir une fois de plus ce moment horrible et humiliant qu'était la vente en elle même.

Il connaissait très bien ceci. Ce n'était pas la première qu'il ferait. Là-bas, les gens sont traités comme des non-humains, rabaissés plus bas que terre, obligés de ce mettre nus devant tout ces regards de personnes inconnus. Pour ensuite être vendu comme un vulgaire animal qu'on achèterait pour ensuite le remettre à des maîtres. Ces salauds ce faisait de l'argent sur leur dos. Et ce fichaient bien de qui achetait l'animal. Que ce soit un vieux pervers qui en profitera, un flemmard qui lui fera tout faire à ça place, ou encore une femme qui lui exigera d'éduquer ses enfants à sa place pour ensuite récolter toute la gloire, non, ils s'en fichaient.

Pour le moment, assis dans la carriole avec d'autres hommes, femmes et enfants, il ne disait rien. Il savait bien que cela ne servait à rien de ce débattre tout de suite. Il s'était épuisé en essayant de faire fuir ses amis. Si il ne récupérait pas là, il n'aurait aucune chances de pouvoir s'échapper durant la vente. Il resterait docile, jusqu'à ce moment là. Ainsi, il gagnerait un minimum la confiance des vendeurs, et il seraient plus relâches. C'était toujours le même schéma. Pour l'instant, cela n'avait pas était très efficace. Après tout, il n'avait que 16 ans. Quand bien même il savait ce battre, contre une dizaine de colosse, il n'avait pas beaucoup de chances de s'en sortir. Mais bon, il essaierait. Qu'avait-il a perdre, maintenant ?

Parfois, durant les voyages en carrioles, enchaîné, il ce souvenait de comment il était avant. Comment il était avant que l'esclavage ne détruise sa vie. Il aurait aimé être encore ainsi maintenant. Mais avec tout ce qu'il avait connu, il avait beaucoup changé. Seuls ses amis arrivaient à le rendre de nouveau avec son véritable caractère. En même temps, dans un monde où ils étaient traqués sans cesse pour le désir des plus haut gradés du monde, le désespoir gagnait même les plus fort moralement. Il n'y pouvait rien. En seize années, il avait vécu plus de choses qu'un riche de soixante-dix.

Apparemment, les vendeurs n'étaient pas des professionnels, cette fois. Cela ce voyait, puisqu'à part les barreaux de la carriole, ils n'avaient pas de cellules où faire dormir leurs objets de vente. Dormir ici était compliqué, avec tout ceux qui essayait de s'enfuir, et leur cris une fois qu'ils étaient attrapés et fouettés. Mais cette nuit là, il ce força à dormir sans opposer la moindre résistance. Il devait être fidèle à sa stratégie. Avec un peu de chance, cela pourrait marcher.

Le lendemain, il fut réveiller par un coup de bâton, qui lui disait de ce lever. Ces articulations le faisait souffrir, mais ce n'était pas comme si il pouvait s'en plaindre. En dehors de la cage, une file d'esclaves étaient déjà attachés entre eux, et un vendeur vint attachés ses propres chaînes à celui d'un autre homme devant lui. Il connaissait la suite. Suivre. Aller près de la scène. Se ranger en file. Se déshabiller. Monter sur scène. Être vendu. Son plan, ce passerait au moment de ce ranger en file. Du moins, il essaierait. Malgré quelques accros, soit quelques uns essayant de fuir, le trajet fut très bref. Au moment où deux vendeurs détache sa chaîne de celle de l'homme devant lui, il en profita pour mettre un coup de coude à celui à droite, et un coup de genoux à celui de gauche. Il pensait avoir réussit, mais très vite, il ce fit encercler par d'autres gros bras.

SlaveOù les histoires vivent. Découvrez maintenant