How To Save A Life

Chapitre 1.

- En chaque début de chapitre, je mettrais la photo d'une personne du cast de la fiction. Pour celui ci c'est le perso féminin principal: Élea Stuford jouée par Bridget Satterlee. -

Vous savez, le cancer c'est une belle merde. Et puis pas juste pour la personne qui l'a, mais aussi pour ceux qui sont autour. Les parents en premier. Ils vous ont vu grandir, ils vont ont élever, votre mère vous a nourris, mit au monde, votre père vous a en mener voir vos amis le samedi matin, vous a appris à pêcher, les frères et sœurs avec qui vous vous êtes disputés, à qui vous avez demandez des conseils pendant la puberté et aux petits à qui vous avez montré comment jouer au dernier jeu à la mode, aux amis avec qui vous avez traverser des crises de rire, des soirées bien arrosés, des heures de cours interminables, les petits/ petites amis avec qui vous avez partagez des mots doux, des confidence, des baisers voir même plus, le point commun entre toutes ces personnes c'est qu'elles vont aimer. Même les voisins, les profs, tout ceux que vous avez croisez et à qui vous avez partager des minutes de votre vie. Ils ont tous eux la même réaction en apprenant votre maladie, d'abord la surprise, puis la tristesse et enfin la pitié. La pitié vous vous y habituez, ce regard que les gens vous portent quand ils vous voient dans la rues, je n'ai jamais aimer ça. Mais comme je l'ai dis, vous vous y habituez. Pour ma part, j'ai un cancer des poumons. C'est cool, hein ? Je sais. Je vivais dans une maison ou l'amiante était malheureusement trop présente dans la pièce ou je dormais et en plus de cela les sols de la maison contenait du radon, et les particules cancérogène présentes ont eu raison de moi. J'ai commencer par avoir une douleur très forte au thorax quand je toussais, ou que je respirais profondément, j'étais vite essoufflée, j'étais fatiguée, mon appétit disparaissait, j'ai perdu du poids et je chopais des bronchites à répétition. Puis j'ai commencer à cracher du sang et cette nuit la mes parents ont vraiment eu peur et j'ai était conduite à l'hôpital. J'ai passé des examens, toujours des examens, encore et encore. Puis le verdict est tombé. Les médecins ont annoncer le traitement... Séjour à l'hôpital ! Chimio, et opération si nécéssaire. Sans compter mon appareil respiratoire.

M'enfin, maintenant je suis devant ce grand bâtiment appeler hôpital. Ma mère se tiens à côté de moi, farfouillant dans son sac à main pour trouver des papiers sûrement. Mon père est partit garé la voiture, et on l'attend. Mon regard ne peu cesser de détailler la façade de l'édifice. Elle est peinte en blanc, et on y voit plusieurs fenêtre, certaines éclairées, d'autre non, et juste au dessus de moi une grande enseigne avec écris "Hôpital" en gros et rouge.

"J'avais pas remarquer."

Devant l'entrée il y a quelques personnes. Un jeune infirmier ( je suppose d'après son uniforme ) qui fume une cigarette appuyer contre le mur, une petite fille avec des béquilles et un plâtre à la jambe qui est assise sur le banc le plus proche de moi avec sa mère, une vieille dame, debout pas très loin qui semble aussi attendre quelqu'un, et puis nous. Un tableau charmant !

Mon père arrive enfin et nous rentrons tout les 3 dans l'hôpital. Je reste un peu en retrait derrière mes parents et grimace en sentant cette odeur si particulière envahirent mes narines. Je souffle en passant une main dans mes cheveux et reste derrière ma mère, la laissant signer quelques papiers alors que mon regard se pose sur la cafétéria devant moi. Elle est totalement vide. Ma génitrice se met à marcher en suivant une infirmière et je fait de même. Nous passons dans plusieurs couloirs, devant différente chambre et prenons un ascenseur. Mon père me lança un regard et je répondis par un sourire. L'infirmière nous entraîne dans un nouveau couloir puis s'arrête devant une chambre qu'elle déverrouille avant de nous faire rentrer.

"Voici ta chambre, Élea."
"Hm, merci."

Je lui fais un petit sourire avant que celle ci ne parte tandis que ma mère va ouvrir les rideaux.

"Ils auraient pu te donner une meilleure chambre !"
"Elles sont toutes pareil Maman..." Soupirais je en la regardant avant de poser mon sac d'affaires sur le lit, remarquant le deuxième proche du miens.

Ma mère me regarde et approche de moi avant de déposer un long baiser sur ma tempe, mon père lui ne disait rien comme à son habitude.

"On va te laisser te reposer mon ange, bonne soirée. Nous passerons demain à la première heure."
"Merci Maman, à demain."

Je lui embrasse la joue et l'enlace avant de faire de même avec mon paternel puis ils quittèrent la chambre quelques secondes après. Je regarda la chambre dans laquelle j'allais vivre et regarda le deuxième lit, me demandant qui allait être ici avec moi.