Le soleil se couche et les nuages prennent place. La nuit arrive et je me lève en même temps qu'elle. Je baille doucement et m'approche pour voir comme d'habitude la Terre. Il y a encore des humains réveillés qui font la fête ou simplement qui ont envie de se changer les idées. J'avance ma tête pour essayer de le voir comme à mon habitude. Mais il n'est pas dans son lit.
Je regarde chaque coin de sa chambre et il n'y a personne. Aucune lumière est allumé dans sa maison. Je souffle doucement de mécontentement. Et moi qui voulais le voir comme à mon habitude, c'est ratée.
Alors je regarde la forêt, là où les loup-garous viennent pour parler ou s'entraîner. Ou autre je n'en sais rien. Près d'un grand chêne, je vois une bande de garçons. Ce sont des loups, je sais le ressentir. J'ai du mal à voir, les branches cachent toute lumière pour que je vois leurs visages.
Alors j'essaye de faire plus de lumière mais les nuages font leurs courses près de moi, près de ma prison.
Des petites gouttes d'eau coulent sur mes joues. Après leurs chemins sur mon visage, elles tombent au sol pour en faire une petite flaque.
« Peut-être que je n'existe pas finalement.. » me dis-je à moi-même.
J'entends du bruit vers la forêt, enfin j'en entends partout mais la forêt m'interpelle. Je m'avance un peu et vois deux loups se battre. Ils sont grands. Un est noir et l'autre châtain brun. Ils se mordent brutalement, et se donnent des coups de griffes sur le visage et les pattes. C'est assez violent. Les autres loups regardent la scène, ils ne font rien. Voir des personnes comme sa qui ne séparent pas ce genre de violence me désole. C'est impressionnant sur Terre comment la violence, la tristesse et la dépression sont banales et tout à fait normale.
Je regarde plus attentivement. Le noir a les yeux noirs et le brun a les yeux d'un bleu assez intense. Une couleur splendide. Ils se donnent des coups encore et encore jusqu'à que le noir tombent à terre.
Le noir reprend son apparence "humaine", il est au sol accompagné de blessures avec du sang séchés. Sa m'en donne des frissons de dégoût. L'autre bête reprend son apparence, il est de dos. Ils se parlent et partent chacun de leurs côtés. Quand le brun est dans la lumière, mes yeux s'agrandissent et toute mon attention est sur cette personne.
C'est lui.
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It's impossible. ( Terminée )
Fantasy« Je le regardais chaque nuits, je regardais les traits de son doux visage. Plus les jours passaient, plus je l'aimais..» « Mes sentiments devenaient de plus en plus grands, de plus en plus intenses au fil des jours. Pourtant nous deux.. C'est impos...
