Une journee bien comme les autres.

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Qu'es e que vous croyez? Vivre seul dans son petit appartement, libre, sans ces parents sur le dos, vous croyez que ces merveilleux? Ouais sa l'es, quand t'as encore t'es parents pour payer, ton maigre loyer, ainsi que t'es études supérieure, t'as bouffe, t'es fringues qui coûte la peau du cul. Alors oui, vous me croiser dans la rue vous me regarder de travers, vous bavez ou me haïssez suivant votre sexe. Certain m'insulte presque mais dite vous que quand vous fessiez vos crise de pseudo ado rebelle, à gueuler sur vos parent, leur hurlent qu'à votre majorité vous quitterai le foyer parentale, moi j'était déjà, depuis longtemps, dans mon petit appartement.

Appartement dans lequel je me réveilla difficilement ce matin, ou après-midi, je ne sais quel partie de la journée je suis, ni même le jour, je me retourna en grognant avant de prendre mon téléphone afin d'en observer l'heure, celui-ci indiquer 13h30. Je le déposa avant de fermer les yeux dans un nouveaux grognement du à la crampe d'estomac, portant ma main à mon vente, remorquant enfin que mon corps était dépourvue de vêtement, je savais très bien ce qui c'était passer la vieille, aucun souvenir mais je me connais, ce qui m'étonne en revanche, ce n'était pas mon genre de ramener ma conquête chez moi. Je me redressa, cherchant autour de moi, l'homme avec qui je venais de passer la nuit, pas si terrible je présume, je ne sens rien de bien différent au autre. Je fini par me lever enfilant une chemise trouver au sol qui ne semble pas être à moi vue la taille, je pourrais mis noyer.

Trouvant enfin une culotte, je l'enfila et partie dans la pièce principale, je me fit aveugler par le soleil, je pris quelque instant pour arroser mes buissons de cannabis. Bah quoi? Chacun ces méthodes!
Bref je partie dans la cuisine, tombant nez à nez avec un homme, il aller sortir, plateau dans les mains avec un petit dej' complet, chose impossible car chez moi il n'y a que du liquide à manger. Je releva le regard vers lui, il aurais dû ce barrer, et vite, il a crus que me réveiller avec un truc pareille allez me donner le sourire? Plutôt crever, tu m'apport un café avec de la gniole et un bedo ou rail de blanche neige et ces parfait.

"Bonjour ma petit folle, bien dormi? Il déposa finalement le plateau sur le plan de travail avant de me regarder, grand sourire.
-Salut...heu...machin. Ouais j'avais pas son prénom et alors, ce ne sera pas le premier, ni le dernier.
-Arthur, je m'appel Arthur, Sky. Répondit-il dans un soupire.
-Ouais bas Arthur, tu vas te casser, j'ai quelque merde à vendre. Et je garde t'as chemise."

Il n'essaya pas de rétorquer, il pris ces affaire et partie sans ajouter un mot. Il sembler vexes pour son prénom, désolé mais quand t'en a un différent tous les soirs, tu ne peut pas te souvenir de chacun d'eux, surtout dans l'état ou je suis. Et oui je suis complètement défoncer. Après tous mes buisson ne sont pas la pour rien, je deal, je suis une drogue et es grâce à ceci que je paye mon loyer pour cette appartement minable. Vous devez vous demander comment j'arrive à me récolter un homme tous les soirs? Mon corps, de long cheveux d'or me tombant dans le bas du dos, une grande taille et une physique tellement fin qu'on ce demande comment je tient debout, un sourire charmeur, de nombreux tatouage et la chose qui les attires le plus, mes yeux, un regard provocateur entourer de noir et leur couleur, chacun la sienne, le gauche vert et le droit bleu, voici ce qui les attire le plus.

Vous pouvez dire ce que vous voulez de moi, priez juste pour que je ne l'entende pas, sinon je n'hésiterais pas à vous tuez, non ces pas une menace, mes menaces sont plus violebte, mais sache que je n'es ni peur des flics, ni de te voir crever ou même de te tuer de les propres mains, tu ne sera pas le premier après tous, je vis comme sa depuis l'âge de mes 14 ans.

Sky...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant