Histoire d'une fille qui croyait au prince charmant

Chapitre 7

J'arrive en courant chez Carole, elle m'ouvre je lui demande si ça va, elle me répond que non je lui demande pourquoi, elle me dit que c'est Tommy, il l'a trompée. Je suis bouche bée, il est si attentionné avec elle comment a-t-il pu ? Puis soudain tout me revient, il était vachement distant ses derniers temps. Je la prends dans mes bras, je lui demande de pleurer et de sortir tout ce qu'elle a sur le cœur, je lui dis que pleurer fait du bien. Au bout de 3h elle est calmée, elle me demande des nouvelles de Thomas (je n'ose pas lui dire que Thomas est en danger) Alors je lui dis que je n'ai pas plus de nouvelles qu'elle. Heureusement, elle ne voit pas que je suis terrorisée et on change de sujet en ce disant que nos copains sont stupides. A ce moment la nos téléphones vibrent en même temps (sms), Pour Carole c'est Tommy et moi c'est ... Thomas ??? Mais il m'a dit d'éviter de lui parler. Il m'invite chez lui ce soir, je suis contente mais je suis étonnée. Je vais y aller tout en restant sur mes gardes, j'appelle Théo, je tombe sur messagerie, étrange... Je vous avoue que quand je me rends chez Thomas ce soir la je suis un peu anxieuse que vais-je découvrir ? Thomas était il lui-même quand il m'a envoyé le sms ? Je vais vite le savoir. En me rendant chez Thomas je suis anxieuse, je me rappelle ce qu'il m'as dit si bien que je passe par la porte arrière, celle par laquelle je suis partie la dernière fois, je regarde par la fenêtre, la je le vois assis sur une chaise les mains liées, ce n'est donc pas lui qui m'as envoyé le sms ... Il n'y a personne d'autre dans la pièce mais je me méfie tout de même, je sors un ciseaux dans mon sac et j'entre discrètement. Je me dirige vers la chaise ou se trouve Thomas, j'entreprend de couper le lien mais a ce moment la quelqu'un entre par la porte d'entrée et j'ai juste la présence d'esprit de me cacher dans un recoin sombre derrière Thomas, quand je peux enfin observer qui est cette personne je suis bouche bée, c'est Théo.