Victor Fayren et L'école de la sorcellerie

Prologue

Tout commence en avril 2003. Un homme plutôt grand aux cheveux brun avec une barbe mal rasée et une chemise blanche se réveille en sursaut. Il se lève du canapé où il se trouvait, puis se frotte les yeux. Il s'appelle Jean-François il doit sûrement avoir une trentaine d'année, et il a les cheveux en bataille et un air très fatigué car on perçoit de grandes cernes sous ses yeux brun.
Il se lève, et regarde autour de lui. Il est dans le salon, il a sûrement dû s'endormir ici hier soir pendant qu'il travaillait. Il se lève du canapé et frotte ses yeux rougit par le sommeil, puis il regarde l'horloge. Quatre heure du matin, il est très tôt. Mais il n'a pas vraiment envie de se recoucher. Il monte les escaliers et ouvre la première porte qui se trouve devant lui. Elle est très vieille et possède une peinture qui craquelle dans les angles. La porte grince un peu puis le bruit se stoppe quand celle-ci est complètement ouverte.
Il entre dans la pièce plongée dans la pénombre. Elle est vide, ou presque.
Au centre de la chambre se trouve un berceau usé, qui pousse de tous petits ronflements.
Il s'approche et se penche par dessus celui-ci, et il admire un bébé chevelu dormir à point fermé.
Il soupire et le nourrisson se réveille. Il ne dit rien, il ne pleure pas il ne crie pas, il regarde Jean-François fixement. Comme si il attendait quelques choses.
Pour troubler cet étrange silence Jean-François commence à chanter une chanson pour enfants, il ne saurait dire laquelle. Une souris verte, frère Jacques, petit escargot. Il ne le savait pas. Cette chanson c'était son ancienne femme qui la lui avait apprise.
Elle lui avait enseigné avant de mourir lors d'une bataille mystérieuse. Jean-François pleurait en silence cette chanson c'est la dernière chose qui lui reste de sa femme, cette chanson ainsi que leurs fils. Il s'appelle Victor. Et il a eut un an le moi dernier. Jean-François espère qu'il ne possèdera pas les mêmes dons que ceux de sa mère, ces mêmes dons qui l'on tuée. Mais c'était peine perdue car son fils possède la même marque en forme de plume aux couleurs cristalline sur le côté gauche du cou que sa femme portait autrefois.
Ça lui avait fait un choc le jour ou il avait apprit ce qu'elle était. Il sourit en repensant à ce moment.
Mais il ne voulait vraiment pas que son fils soit pareil, il espère ne jamais avoir à ce séparer de lui.
Et c'est en pensant à tout ça que Jean-François s'endort doucement...
Victor lui reste éveillé sa marque sur le cou le gratte, mais ce n'est qu'un enfant et il ne sait pas se qui l'attend dans quelques années...

Dans son bureau une femme, une très très grande femme regarde par la fenêtre, ses cheveux attachés en chignon et sa robe noir où se dessine d'étranges petits points lumineux lui donne un air mystérieuse...
Elle soupire et marmonne
- Ça y est Silvie tu peux reposer en paix. Je me chargerai de ton fils quand il sera prêt. Je t'en ai fais la promesse.
Puis elle se retourne et par s'asseoir à un bureau, où l'attend un oiseau aux reflets dorés  posait sur un perchoir en marbre juste à côté.
Elle le caresse, puis soupire et regarde vers la fenêtre où elle peut voir un ciel bleu nuit, bleu mais inquiétant.

Le bébé regarde par la fenêtre, il sent qu'on pense à lui mais il ne s'attend sûrement pas à se qu'il l'attend alors il  se rendort dans un rêve étrange et mouvementé...