chapitre 1

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Dès l'enfance les gens me trouvaient trop différente des autres enfants .En ce temps je vivais chez  ma grande mère maternelle et elle me disais toujours  (ton papa est quelqu'un de très fortuné et tout cela à commencer dès ta naissance ensuite elle a abandonné ta mère qui n'a pas pu finir ses études )
Mais moi je ne me sentais pas différent ni chanceuse j'étais tout simplement comme les autres enfants. Un jour alors qu'un camion sans frain qui transporté  du sable défonca notre clôture je me trouvais là avec amies à jouer et voila des briques qui nous tombèrent dessus. J'entendais des cris c'était surma les spectateurs (j'ai vu des enfants dans ladans où
sont ils?)
Mes amies étaient mal au point et moi j'étais là assise avec le coeur qui battait si fort et je vois une tante qui courait vers moi pour me récupérer.on transporte les blessés à la dispensaire le plus proche.

FLACH BACK

Un voisin :vous avez vu ca?

Ma tante:quoi ca encore ya t'il un enfant sous les briques?

Le chauffeur :Non là où votre enfant était assise les briques sont tombés en forme d'un grand cercle et elle était au centre

Ma tante:c'est dieu qui est grand c'est tout.

finalement mes amies s'en sont sortis avec quelques cicatrices.

Ma grande mère nous interdirent pleine de choses moi et mes cousin(es)surtout les promenades dans les coins peu fréquenté. Elle commenca à citer mais arriver à un niveau où elle disait  (quand la mosquée fait l'appel pour la prière  je ne veux voir personnes dehors ni grimper aux arbres et si tu est dehors rentre à la maison).
Et moi je demanda à une tante( ya quoi à l'appel de la mosquée pour ne pas faire tout cela)et elle me répondu ( notre quartier là n'est pas bon y a trop de sorcière donc eux elles profitent sur les enfants têtus).
Tout le monde devait obéir mais j'obeissais sauf quand il s'agissait de grimper aux arbres avec autant  d'arbres fruitiers (manguiers papayers orangés bananiers manderines coyaviers kiwi palmiers cerisier....)dans la cour c'était impossible pour moi.
Un jour je grimpa sur le plus grand manguier de la maison on voyait tout avec un soleil plus que ardent.et voila le muezzin qui n'attendait que moi mais je ne descend pas pendant que c'était l'heure de la sieste.
les ruelles étaient sans vies soudain je vois une vieille passer elle devait être dans les 60ans elle ne pouvait me voir vu que l'arbre était trop touffu et je l'appela

UNE FILLE PAS COMME TOIOù les histoires vivent. Découvrez maintenant