Son arme sur la tempe, le froid du métal me réchauffait. Un sourire glissai sur mes lèvres. Autant qu'il appuie sur la gachette, je n'allais sûrement rien ressentir. Ses mains tremblaient, il perdait confiance. Aucunes secousses n'animaient mon corps. J'étais inhumaine. Ses palpitations accéléraient, il perdait pied face à mon mutisme. La noirceur de l'hiver englobait peu à peu la scène. Sa main qui tenait ma bouche était moite. C'était le moment. J'envoyai valser mon pieds dans l'un de ses tibias. Par son surprise, il laissai le magnum glisser à quelques mètres. Mon poingt recontrait sa joue avec joie. La haine plein les yeux, j'utilisais la crosse à plusieurs reprises pour l'assomer. Son corps gisait au qol. Le sang coulait le long de mon bras imprègnant la veste blanche que j'avais empruntée à Jasmine. Sans pitié, je tirai une balle entre les deux yeux du brun. Mon corps envahi d'une grande satisfaction, je ganbadais jusqu'à chez Jasmine. Une bouclée m'ouvrit la porte. Son visage se décomposai à la vue de sa veste tâchée.
-Putain Selma, t'as aucun principe, wseh j'ai mit presque tout mon salaire dans cette veste. 100 euros, tu t'rends compte.
-Tranquille, tu t'en rachète une le mois prochain.
