Chapitre 3

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Je n'ai jamais eu besoin de mes parents, je pense qu'avoir mes grands-parents me suffit jusqu'au jour où j'ai enfin compris le rôle de parents.
C'était une après midi, mon cousin vient vers moi. je cours avc lui et je lui demande de venir joue avec moi mais il m'a dit que il devait cherche le bracelet de ma cousine apparemment je lui est volé.
" Non je ne sais même pas qu'elle avait un bracelet" dis je.
"Mais pourtant elle a dit que ce toi qui lui a pris."
"Mais non pas du tout j'ai pas fait ça"
"Bon laisse moi, je dois chercher le bracelet"
D'autre personnes sont venue vers moi en me disant la même chose mais je les ai dit la même chose que j'ai dit à mon cousin. Ils ne me croyaient pas me harcèle.
Ils sont partis et moi je les ai regarde. Quelque chose c'est brise en moi. Moi je tourne ma tête de gauche à droite, je voyais cette scène partout où je me trouve. Mes yeux piquaient, mes mains sont en boules je retenais comme je pouvais les larmes. J'ai marché, marche pour fuir ces images.
Ce jour là j'ai appris beaucoup de choses sur moi, à quel point j'étais douée à cacher mes sentiments, à faire semblant et surtout je ne pense pas que cette chose qui s'est brise ne pourrai plus jamais être réparé. À jamais j'étais maudite, privé d'identité, d'amour, de parents.
"Rends son bracelet à Blanche sinon ton oncle viendra te frappe"
Cette phrase tourné en boucle dans ma tête, comment je pouvais rendre son bracelet à ma cousine, je ne sais même pas a quoi il ressemble à part qu'il est en or.
J'étais sur le côté de la maison de mes grands-parents ou il y avait plein de fleurs. Je pouvais voir de la ou je suis que mon oncle et effectivement la. Je pleure encore, je n'ai pas volé, je ne l'ai pas fait. Je prié Dieu.
Quelques jours plus tard une personne à retrouver le bracelet, la ou ma cousine à joue. Elle a rendu le bracelet à ma Tatie. Ma cousine à raconter ce mensonge car elle avait perdu le bracelet.
Depuis ce jour, je ne montre jamais que j'aime les choses des autres par peur qu'ils m'accuser de les avoir vole. Après tout je n'ai pas de parents donc ça fait de moi une voleuse.
Ridicule mais c'est ainsi que les gens fonctionne malheureusement.
Ils ne savent pas la valeur de chose mais moi je sais.
Intrus.
Décalage, je suis en décalage de mes camarades. Ils veulent des poupées, des jolies choses moi je veux des parents qui m'aime.
Je prié pour les avoir et chaque fois qu'une voiture passe je pense que ces eux. Même au bout milieu de la nuit je me  réveil pensant que c'est eux. Ou qu'ils m'attendent après l'école où chez moi. Chaque un des ces événements mon cœur retient un soiffle, le sourire au visage pour découvrir que je me  fais un film.
Plus les jours passent et je me rends compte de mon imbelite cette ce mot n'existe pas mais il existe dans mon monde. Petit à petit mon amour devient de la haine. Pourquoi ne ressentais vous pas le besoin de me voir?
Pourquoi ce n'est pas réciproque ?

Le monde n'est qu'un lieu de transit,en dénouant la ficelle toute haine et souffrance disparaîssent dans un flot de larme. Aussi vite que le fragile lycoris se fané derrière les voile de ténèbre au douze coup de minuit ma vengeance sera accomplit.

Lycoris

Lycoris

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