Chapitre 15

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J'avais réfléchi toutes la nuit à une solution pour me sortir de cette situation mais sans mon épée je n'était pas en position de forces malheureusement...

La porte s'ouvrit et le même homme à la tête de psychopathe entra dans la pièce.

- Alors mademoiselle Azuna. Êtes - vous décidé à parler.

- Qu'est-ce que vous voulez faire à ma famille ?

- ...Franchement, vous êtes têtue,... je veux juste leur prendre une chose qui me revient de droit.

- Qu'est-ce que c'est ? Que leur ferait-vous s'ils refusent ?

- Je vous en ai déjà assez dit comme ça. Estimez - vous heureuse que j'ai répondu à l'une de vos questions ennuyantes. Maintenant à vous de répondre à ma question.

Je restais silencieuse et le fixai droit dans les yeux. Il soupira.

- Bien... Vous ne me laissez pas le choix. Si vous ne voulez pas coopérer je vais être obligé de passer à la manière fortes...

Deux hommes me prirent par les bras et m'emmenèrent un peu plus loin pour m'accrocher à une drôle de machine qui ne m'inspirait pas confiance.

Mes bras étaient accroché à des chaînes reliées à un drôle de mécanisme. Je ne touchait pas le sol avec mes pieds qui étaient toujours liés.

L'homme s'approcha de moi.

- Désolé, je ne voulais pas en arriver là mais vous êtes plus têtue que ce que je pensais...

Il approcha son visage du miens et pris une mèche de mes cheveux.

- C'est si triste d'abîmer une si jolie fille.

J'eu des frissons d'horreur et de dégout. Il s'éloigna de moi, un sourire sadique au lèvres, et fit signe aux hommes de commencer.

Les chaînes me tirèrent les bras doucement pour bien accentuer la douleur. Les minutes semblaient durée des heures et je sentait de moins en moins mes bras engourdis par la douleur insoutenables. Finalement je finis par lâcher un cris de souffrances que je ne pouvais plus retenir.

- Alors vous ne voulez toujours pas me dire ?

- Plutôt mourir ! 

- Comme vous voudrez.

Les chaînes s'arrêtèrent ce qui me soulagea un court instant car un rayon rouge se plaça sur mon ventre et commença à brûler ma peaux.

Un cri s'échappa de ma bouche et des larmes coulèrent toutes seules le long de mes joues. C'était encore plus horrible que si je me prenais un coup de poignard dans le ventre, ce qui m'était déjà arrivé avant de connaître Shiki.

- Ceci ma chère est un rayon laser qui vous fera mourir dans les plus atroces souffrances et lentement bien sûr, pour que vous ayez le temps de me donner les informations.

- Je...vous...déteste...

Il ricana un long moment jusqu'à ce qu'un grondement résonna dans toute la pièce. Puis la porte d'entrée s'effondra dans un enorme fracat et une silhouette se dessina dans la lumière du jour.

My black AngelOù les histoires vivent. Découvrez maintenant