Liam Wolners est un journaliste travaillant pour le célèbre magazine "West Firee". Fasciné par tout ce qui l'entoure, passionné de la nature et des humains en eux mêmes; il voyage sans cesse à travers le monde pour trouver des petits trésors longtem...
Je m'appelle Liam Wolners. Je suis un journaliste aux abords compliqués et aux fascinations bien étranges. Ce qui me paraît être des valeurs humaines, une once de vie importante pour une communauté étrangère sont des sujets qui m'interpelle véritablement. Je travaille d'arrache pied pour l'entreprise « Weste firee ». Après des études qui se voulurent plutôt longues, je finis par me laisser entraîner par le rythme haletant des écritures technologiques dût aux cliquetis des ordinateurs multiples. Ma plume m'avait quitté pour un bout mécanique aux vibrations assourdissantes et bruits parfois inquiétants. Ma liberté de penser se faisait retenue, mais à jamais je l'enviais.
Les plans économiques, stratégiques m'emmenaient au bout de la France, au bout du monde, à l'orée de toute vie où une civilisation avait périt. Il n'y avait que secrets et égards... Partout, ombre sordide qui était pourtant manipulée par la presse. Cette vision n'était pas la mienne, étrange d'ailleurs que je me sois laissé tenter par cette stupide sornette. Mais je ne voulais que découvrir plus, toujours plus... Les sentiments humains, la passion, l'amour, la joie, la foi... Tout ce que nous autres êtres vivants étaient capable de ressentir.
Il y avait quelque chose de poignant, tout cela avait au fond les mêmes origines. Ce fut alors en juin 2025, qu'après un travail à grand succès sur les peuple inuïs entièrement exterminés, mon supérieur me demanda un nouvel article.
« Nouveau ! Sensationnel et mode ! ( disait-il avec ardeur.) Ce monde attire et nous nous devons de le connaître ! »
Je n'étais que curieux face à son soudain optimisme. Homme d'affaire, parfaitement rasé, ne faisant que la moitié de son âge et au regard sévère. C'est alors que surpris, je ne pu que lui demander la soit disante « merveille » que la réunion d'il y a deux jours avait conclu. En effet, un ramas de personne à lunette, ardus et futuristes, projetant leur avenir d'une entreprise parfaite. J'avais refusé de participer à cette dernière, préférant d'écrire la beauté ensorcelante de la mer aux cotes bretonnes. Le matin au lever du soleil, un livre entier ne pourrait toujours pas concentrer l'exactitude de ce paysage sublime. Je ne pouvais qu'avoir un abord et une vision personnelle de ce que représentait la création inégalable de la nature.
« il s'agit d'un projet fort satisfaisant qui pourrait avoir de réel revenus pour notre grande entreprise ! »
Argent. Les bâtiment administratifs, l'étendue des boites, les places économique vouées à de nombreuses entreprises plus ou moins mélangées aux marché individuel... Tout cela n'était qu'argent, en retrouver, en distribuer, s'en procurer encore et parfois s'en repentir pour être un homme différent. Changer n'était pas difficile, un riche pouvait avoir tout comme un pauvre n'ayant rien. Une seule question pesante persistait néanmoins... Comment en vivre sans ?
« Il s'agit de créer une nouvelle série de presse, de nouveaux journeaux qui parleront d'un homme devenant telle personne, sachant qu'il n'avait jamais fait la chose reliée à cette nouvelle identité. »
Il était bien compliqué d'assimiler ses idées au réel. Mais avec un si grand talent, mon chef n'avait que raison sur un point, chacune de nos séries choisies par lui même avec soin avaient fait un tabac. Il s'agissait d'être une grande entreprise pouvant mettre à profit des sujets tous différents les uns des autres. Nous pouvions proposer la « news » stars pour les ados, la classe éco et politique pour les adultes jusqu'à la mode et les soins de beauté pour les femmes en générale. Mais ici, il était question d'une activité, où quelqu'un pourrait s'y immiscer avec attention, afin d'en comprendre et découvrir ce monde.
Bien entendu, me trouvant dans ce bureaux sentant le travaile, la tension et le stresse, cet individu ne pouvait être que moi et je ne pourrai renoncer à ce travail. Je suivais les péripéties que m'offraient mon destin...
« Le surf ! Une mode chez les adultes et une fascination pour les jeunes ! Je veux qu'une personne devienne l'un des leurs, comprenne cette sensation, comprenne les incroyables rêves de ces gens qui ne font qu'un avec la dangereuse mer. Des journaux visant à expliquer l'insertion de cet homme dans ce nouveau environnement, tout comme ils pourront se sentir eux aussi voyager et entraîner par cette spectaculaire transformation. Il faut le faire pour qu'ils y croient ! Il faut leur montrer, comme un slogan « Un journaliste est devenu surfeur mais alors... Pourquoi pas vous ? ».
J'avais déjà perdu le fil, tout comme mon esprit se répétait en boucle « surfeur ». Je n'avais pour ainsi dire jamais fait de surf de ma vie et, même si cela restait une activité des plus difficile je la trouvais d'un danger particulièrement magnifique. Elle était unique en son genre, du moins, formant un groupe avec la planche à voile, le bodyboard, la voile et tout ce qui touchait à la mer et le vent. Et ce fut alors en ce jour... Que tout débuta.
Je n'avais pas encore compris toute l'ampleur de la chose, tout ce que j'allais traverser et les gens exceptionnelles que j'allais rencontrer... Après quatre mois de dure travaille afin de savoir surfer et de pouvoir commencer mon nouveau "dossier", j'allais enfin sortir ma plume et recouvrer cette liberté d'écriture. Je deviendrai l'un des leurs... Mais jusqu'où étais je capable d'aller ? N'allais je pas me perdre entre temps ?
Que j'étais, à ce moment précis, stupide et naïf...
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