Et nos cœurs se nouèrent...

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Plus aucun son, un vide brutal

Plus aucune couleur, dans ce noir fatal

Puis une flamme scintille ! Puis deux!

Et une infâme douleur, notre cœur est en feu!

Nos yeux s'écarquillent,

Les siens nous fixant, rougeâtres, brillent.

Nous ne voulons ni te fuir,

Ni te combattre, mais devons partir!

Ait pitié, nouvelle mère...comme le disent tes préceptes

Nous savons qui tu es, ne perd pas la tête!

Même en ce lieu et moment, au loin, encore se sent,

Ce doux parfum de cannelle, de caramel, si distrayant...

Souvenirs d'EbottOù les histoires vivent. Découvrez maintenant