Tyga me dirigea vers la maison en question, je ne parlais et me contentait de serrer la mâchoire. Oui, j'étais énervé de savoir que Alana sortait, déjà parce qu'elle m'avait dit qu'elle ne sortait pas, en plus, qu'elle est sans surveillance, plus sans toi, que sans surveillance, me dis-je à moi même. Une fois arrivée, Tyga sort de la voiture et se dirige dans la maison. Je sais pas comment il va la faire sortir, mais j'espère qu'il y arrivera et vite. Maejor et Alfredo se mettent à parler entre eux et je me contente de souffler, devenant impatient après une dizaine de minutes attendre. Je relève les yeux et vois Tyga, accompagné d'Alana sortir de la maison, elle ne se laissait pas faire évidemment, et quand elle me vue, elle retira son bras de sa main et se mit a faire demi-tour pour rentrer à nouveau dans la maison. Alfredo sort et je le suis, je passe ma main dans mes cheveux et m'approche d'Alana qui continuait de vouloir partir.
<< Bébé, calme toi. >> << Oh ta gueule. >> << Pourquoi t'agis comme ça là ? >> << Parce que pendant que moi je me faisais agresser par tes putains de paparazzis, toi t'es partit baisé une pute alors va te faire foutre. >> << T'es jalouse ? >> << Non j'en ai rien à foutre, t'as juste pas eu l'amabilité de faire attention à moi, comme tu me l'avais promis. MAIS LÂCHE MOI MERDE ! >>
Son crit fait poser plusieurs regards sur nous, je fais comprendre à Tyga et Alfredo de rentrer dans la voiture et je prends Alana dans mes bras.
<< Bébé...>> << Arrête, y as pas de paparazzis. Tu peux me lâcher. >>
Je souffle et la fait entrer dans la voiture côté passagé. Je redémarre et me dirige vers la maison d'Alana.
Une fois qu'on y arrive, je me tourne vers elle et voit qu'elle ne réagis pas. Je pose mon regard sur les gars derrière et vois qu'ils ont tous leurs écouteurs, musique à fond.
<< Alana, pourquoi ça va pas ? >> << Pourquoi moi ? Je veux dire, j'avais pas une vie parfaite déjà, mais elle était mieux que celle-ci. Je n'étais pas connue, je me faisais pas insulter. Je n'avais rien de tout ça. >> << Bébé, j'ai pas choisis. Mais tout ce qu'ils disent, tout ce qu'ils pensent sur toi, ce n'est pas la réalité. Tu es bien trop géniale pour te laisser abattre par ces pauvres personnes qui n'ont rien d'autre à faire que d'essayer de blesser une personne aussi formidable que toi. >>
Alana sourit légèrement avant de se pencher vers moi et de me prendre dans ses bras.
<< Je peux rester avec toi cette nuit ? >> Dit-elle en chuchotant près de mon oreille.
J'hoche la tête et redémarre la voiture afin de reprendre la route vers chez moi en déposant Alfredo, Tyga et Maejor chez Kylie. Je reprends la route vers chez moi, il y a peu de paparazzis. Je conseille quand même à Alana de cacher son visage et de rentrer vite, ce qu'elle fit. Je ferme rapidement la porte derrière nous et la regarde retirer ses chaussures.
<< Pourquoi tu veux pas que je sors ? >> << Une fille comme toi risque de se faire violer à tout moment. >> << Justin. >> << J'aime pas, c'est tout. >>
Elle n'insiste pas et je monte lui chercher un pyjama à moi, un jogging et un tee-shirt ferait l'affaire. Le temps qu'elle se change, je prends mon téléphone et en profite pour poster une photo sur instagram.
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@justinbieber : ❤
Rien de plus, rien de moins. Si certaines personnes voulaient la blesser, moi je voulais lui prouver qu'elle était beaucoup mieux. Et cela commençait par lui prouver que mes fans n'avait aucun pouvoir sur mon jugement sur ce qu'elle est. Je lui souris quand elle redescends et la laisse choisir un DVD. Je souffle doucement et rigole, elle s'installe à côté de moi et je la regarde, fallait avouer qu'elle était belle, et qu'elle était carrément bonne, aussi. Mes yeux se baissent sur sa poitrine, elle portait pas de soutien gorge. Putain. Mes yeux parcourent le reste de son corps, même en jogging elle arrivait à me donner envie d'elle. Je finis par détourner les yeux, et me concentrer sur son film, nul à chier en passant.
Alana Ivoiara.
J'étais enfin rentré chez moi, ma mère me faisait encore une leçon de moral sur comment me conduire avec Justin. Je la laisse parler avant de monter les escaliers, elle pouvait vraiment être saoulant parfois. Et même, j'étais pas sa copine alors je faisais encore ce que je voulais. Même si aujourd'hui, je devais aller chez une styliste pour ma robe. Elle allait prendre les mesures de mon corps et prendre connaissance de mon style, j'avais quelques critères mais je pouvais prendre ce que je voulais. Vrr vrr
De : MANAGER JUSTIN N'oublie pas, tu dois être classe et la robe ne doit pas être provocante
Je roule des yeux, j'étais pas une fille provocante de base. J'étais prête et habillé, bon c'était simple mais si le styliste de Justin croit que je vais suivre ses conseils pour être la "parfaite petite amie" c'était mort. Je sortais de chez moi, et ma mère me crie que le chauffeur était déjà là. Un chauffeur ? Sérieusement ? Je souffle et monte dans la voiture, adressant un sourire au chauffeur, il ne m'avait rien fait lui. Il ferme la porte derrière moi, quelques paparazzis était là, pas énormément, je dirais pas plus de 3, je m'amuse pas à les compter non plus.
J'étais seule avec le chauffeur et il ne parlait absolument pas, c'est comme si j'étais totalement seule. J'avais hâte qu'on arrive.
Et mon souhait fut exaucé une dizaine de minutes plus tard, c'était luxueux. J'avais toujours vécu dans le luxe mais là, c'était autre chose. Je rentrais à l'intérieur et je remarque plusieurs photos de moi placardé sur le mur, toutes les personnes dans la pièce était retourné sur moi, c'était gênant. Je fus vite prise en charge par une femme d'une trentaine d'année. Elle était belle. Et grande, très grande.
<< Bonjour mademoiselle, ne vous inquiétez pas, on va bien prendre soin de vous. >> << Pourquoi il y a des photos de moi ? >> << Pour se faire une idée de vos mesures. >>
C'était évident. Je me laissais faire toute la journée, et c'était agréable. Malgré que parfois ils en faisaient beaucoup trop. Je recevais énormément de messages de Justin aussi, il s'inquiétait, il y avait des jeunes filles en face du studio, hurlant mon prénom. Complètement inutile, je n'étais pas une star.
