Face a lui (1)

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Pion en (E-4)

J'ai toujours eu l'habitude de commencer doucement, enfin c'est ce que je voulais de lui qu'il pense. Je ne voulais pas qu'il lise en moi le moindre sentiment de peur ou de doute, non pas la moindre excitation ou une quelconque lueur dans les yeux reflétant mon âme.

Devant lui j'aime apparaître vide de toute âme, on m'avais fait humain mais face a lui je ne le serai plus. Hmmm ?!! « Lui » quel étrange frisson qui m'hérisse le poil en parlent de lui . Je n'avais aucune certitude de sa réelle existence mais j'eu toujours le sentiment que je disputais un match avec lui, Bien plus qu'un match avec lui je disputé ma vie .

Chaque jours de plus en plus investi dans mon combat, chaque jours a perdre une partie de moi-même craignant la moindre erreur ou le moindre faut pas . Mes jours en ce monde ne furent que torture en sa présence assombrie de par le temps s'écoulant du sablier de ma vie. On pouvait comparer cela a un couché de soleil séparant la clarté du jour et sa douce chaleur,. du silence, du froid et des ténèbres de la nuit.

Mais sa n'eût point la beauté ni ce doux sentiment qu'on ressent quand on est bien en sécurité sous son toit réchauffé par les flammes jaillissante d'une bûche embrasé aux lueurs rougeoyantes tel des rubis arrachés aux Malin lui-même des plus profondes mines de l'enfer.

Ce doux sentiment que l'on a quand on observe de derrière sa fenêtre les ombres ténébreuses de la nuit assombrirent le ciel bleu d'autres fois. Mais que les lumières de la déesse pure, étoile en ce monde se dressant à jamais contre les étreintes de l'ombre vous guidant en ce monde comme le ferait un berger. (1)

Dame en (F-3)

Comme le ferait un berger pour un troupeau de brebis égarées.

Chaque jour, chaque fois la même chose. Relèvent sa tête, m'observent de sous ses habille noir vieux de plusieurs âge. On aurait dit les voiles sombres du vieux navire errant a jamais au dessus des océans infinis et des mers sans rivages. Maudit par les anciens dieux et les nouveaux allant et venant tel un spectre vidé de tout ce qui fut autrefois.

La, dans cet univers blanc aveuglant purifié de toute imperfection. Il se tenait devant moi inerte , je n'eus cesse de lui parlé et de le provoqué mais il ne répondit guère .aucun mouvement, hormis celui déplaçant une pièce d'une case a une autre au dessus de notre échiquier. ajouté a cela ces longs moments qu'il passait à m'observer par dessous le voile noir le séparant de ce blanc infini . Évidemment je ne pouvais voir ces yeux, mais je sentie en ces moment un sentiment de dégoût et de rejet , le même sentiment que l'on a lorsqu'on on se regarde dans le vieux miroir accroché sur le pilier de la tante verte aux milieux du campement militaire , le lendemain de ce massacre et que l'on voie le monstre dans le reflet déformé par les quatre lignes longeant et divisant le miroir pure, reflet de ce monde autrefois béni et prospère alors qu'aujourd'hui souillé il est par la haine noir et la teinte rouge du sang et des boyaux dégoulinants des centaines non voir des milliers de corps d'hommes femmes et enfants déchiquetés et démembrés dansant aux loin sur les collines la dance macabre de la mort , orchestré par ce monstre en complet noire et aux sourires d'anges . Sur une symphonie jouée par ces braves soldats arborant en leurs mains leur lourds instruments métalliques, toujours prêts a faire gronder le tonnerre pour accompagné les vivants à la mort .

De la pointe de ces doigts il fit avancer la folie en (C-5) voulant a tous prix que je sombre dans les méandres de mon propre esprit brisé. Que je perde la raison et que j'abandonne la voie de la rédemption.

Les images en ma tête défilèrent a mach vingt et j'eu l'impression de tomber dans le vide infini. Troublé je fut pendant ces longues années ne durant que le temps impartie à l'aiguille de l'horloge face a moi de finir les trente (tic-tac) séparant nos deux tours , une horloge ??

Face a luiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant