Il leva le tissu noir laissant entrevoir le bas de son visage, il était homme aux dents blanches , de peau pas plus mate que la mienne , il arborait une barbe soignée et une longue chevelure d'un noir corbeau qui descendait sur ces épaules , le tissu noir recouvrait encore le moitié supérieur de sa tète donc je ne put voir les yeux au regards transperçant mon cœur .
Ces lèvres rougies commencèrent une belle dance laissant le son de ces paroles retentirent a mes oreilles .je sentie une belle voie douce les caressait ce fut le premier bon ressentie que j'eu depuis que je l'ai vu. Jamais je n'aurai crue l'entendre du monstre en face de moi. La sensation s'accentuer et surpassa même mon excitation ou bien la compréhension des mots joués par les cordes vocales de mon locuteur, lui qui pendant toute ces années c'était tu .ce spectacle m'ai quelque peu embrouillé l'esprit alors au lieu d'être le sage écoutant les murmures des ombres d'en temps je fus l'idiot a qui l'on devait hurlais au visage de par son simple esprit. Étrangement même si sur le vif du moment je fus ce simple d'esprit jamais je n'aurais oublié et sa pour le restant de ma vie les paroles de la mort à mon égard.
Votre combat face a moi touche finalement a sa fin, vous avez perdue mortel, vous avez perdu votre droit à la mort
Je ne compris ce qu'il voulait dire. Comment cela était possible je jouais ma vie et non pas ma mort. que voulait il dire par cela .c'est ce que je n'eu cesse de lui hurler au visage mais il restait toujours aussi calme.
_ Que voulez vous dire par la ? Qu'allez-vous me faire ?!!
_ Que vais je vous faire ? Rien ne vous sera fait car vous avez perdu, pas de mort pour vous aujourd'hui ni pour aucun autre jour. Seulement la vie.
_ Pas de mort ? La vie !!!
Un sourire croissant se dessina sur mon visage, une seule pensé redondante dans ma tête « j'allais vivre » , l'heur de la fin n'avait pas encore sonner pour moi les cloches annonçant la mort du roi n'allais pas retentir dans ma citée ni les cors des champs de guerre .
J'avais perdu mais pourtant je me croyais vainqueur, je pouvais le sentir , oui je sentie à l'instant un vieux sentiment qu'elle était' ce ' déjà ... .
L'homme devant moi me pris le bras et le serra fort de ces mains aux longs ongles noirs , je ne comprenais pas ce qu'il faisait tous se bousculait dans ma tête les images, les sons et les sentiments défilaient comme les feuilles mortes d'Automne trainées par les torrents de vent . En une grande vague écarlate s'abattant sur ce qui rester de vert.
Du bout de son ongle il traça sur ma chaire un étrange symbole qui fit transformer les crie de joies en cries de douleur , je me tordais me tortillait et me débâtait dans tous les sens avec la plus grande ardeur dont je pouvais , mais il fut tel un roc solide un chêne centenaire dont les racines t poussèrent autour de mes bras, mais bientôt des racines jusqu' au tronc de mes bras a mon corps tout entier je fus prisonnier tel l'homme né dans l'arbre, oui le même dont les vielles légendes conte la vie, sauf que pour moi le chêne fut spectre et les branches , les branches furent les ombres s'abattant une nouvelle foi sur moi, elles me tenaient corps et âme . la douleur de mon bras étai semblable a l'écorchure vive, comme si que le tortionnaire vous arrachait la peau laissant voir la chaire nue écarlate , vous qui voyait la première foi cet amas de viande qui vous compose. Le sang qui coule en vos veines et les os qui vous portent en ce monde. Il a bon les brisé les broyé , déchiqueter la chaire, couler votre sang et brûler votre âme , vous revivrez à chaque foi les os repousseront , la chaire les enveloppera à nouveau, elle même recouverte d'une nouvelle peau laissant entrevoir les canaux de sang serpentant le long de votre corps telles des rivières sèches attendant la pluie d'hiver pour couler a flot, une nouvelle foi.oui une nouvelle foi le sang coulera dans vos veines , une nouvelle foi et la vie vous sera rendue, une nouvelle foi et la douleur vous sera effacer . vous vous sentirez laver de tous vos pécher votre esprit sera libre et votre âme sera pure . mais c'est à cet instant précis que votre calvaire reprendra , que la douleur reviendra , que votre peau se fanera telle les pétales d'une rose écarlate privée d'eau privée de vie , la chaire s'écorchera d'elle même , les craquements de vos os brisés vous berceront au grand somme tels les sifflements du joueur de flûte en une douce nuit d'été .
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Face a lui
Fantasyil est dure de décrire le combat ce passent dans cet écrit car même sont auteur n'a pas plus de réponse qui pourrai satisfaire sa propre compréhension . parfois mieux veau ce dire que l'incompréhension elle même est une forme de savoir car n'est-ce...