J'etais là, a me questionner, sur lui, sur nous. Enfin s'il y avait-il déjà eu un "nous". Ce que j'avais toujours espérer en secret, ce que j'avais toujours voulu, toujours imaginer, c'était ses bras, son amour, lui. Lui qui passait son temps a me faire souffrir, lui qui passait son temps a me faire pleurer; mais c'etait lui que j'avais toujouts desirer, pas un autre non, lui. Lui qui avait briser mon coeur plus de fois qu'il le faudrait. Ce n'etait pas moi qu'il aimait et ce n'est toujours pas moi qu'il aime, et ça, ça me tue, parce qu'il a été mon seul et veritable premier amour, le seul que j'ai aimer jusqu'à tout lui donner, tout lui pardonner. Aujourd'hui je passe mon temps a me convaincre que je l'ai oublié, qu'il ne c'est jamais rien passé. Je passe mon temps a me dire que c'est un salaud parce que c'est plus facile d'oublier un homme qu'on déteste; mais bizarrement j'ai jamais reussi a le sortir de ma tête, de mon coeur, je n'ai jamais reussi à le chasser de ma vie, de mon existence, car il était présent, tout le temps, partout. Au final, je revenais toujours pour qu'il me fasse a chaque fois un peu plus de mal. Cette "relation" me tuais, m'écorchais, parce que je vivais pour lui. J'aurais dû arrêter tout ça, arrêter de rêver, parce que dans ce monde, les rêves ne servent a rien a part mentir au enfants. J'étais aussi écorché car j'etais cette gosse qu'on ne regarde jamais, ce qu'on reniait et qu'on insultais. J'étais trop compliqué, trop triste, trop tourmentée pour lui. Tout ces paramètres ont fait qu'il ne m'aimait pas, et qu'au final j'étais tombée bien bas.
