Douce histoire de vengeance

Cette épopée débutte par une belle journée d'été, nous nous trouvons dans une famille, tous se qui a de plus normal.

Sous le toit de cette maison, il s'y trouvait un père, Percé, un cultivateur de légumes au visage marqué par la fatigue dû à son travail. Il avait les cheveux noirs et courts ainsi que les yeux verts. Ensuite, il y avait sa femme, Heraïs, une belle représentante de la gente féminine avec une chevelure d'un blond doré et des yeux bleux. Elle s'occupait de vendre les produits de leurs terres. Le reste de la famille etait composé de deux enfants, un garçon et une fille agée respectivement de onze et sept ans qui se prénomait Tares et Ephahi.

Cette famille vivait dans la pauvreté car la culture de légumes ne permettait pas de devenir riche mais c'était un métier qui permettait à Percé de nourrir sa famille se qui lui suffisait. Leurs vie était simple mais heureuse et paisible, jusqu'au jour où éclata une guerre, une parmi tant d'autre. La famille de Percé était à l'abri car le village où il habitait n'était pas vers la zone de combat mais un beau jour, un petit groupe de mercenaire arrivèrent et commença à éxécuter les habitants qui n'était pas apte au travail. Avertis par les cris des villageois, Percé regarda par la fenêtre et vit le village à feu et à sang.Il fut choqué par toute cette destruction, il resta devant la fenêtre pendant quelque seconde avant de se rendre compte qu'il pourrait être vu. Appeuré de perdre les siens, il fit le choix de partir avant que les soldats ne les repères. Mais c'était déjà trop tard, l'un des mercenaires l'avait déjà reperé et parti à leur rencontre.

Une fois dans la maison, il se rendit compte qu'elle était vide. Il sortit par la porte de derrière et vit la famille qui fuyait. Il les poursuivèrent et les rattrapèrent, Percé s'engagea dans un combat contre le poursuivant pendant que la mère et les enfants continua leur fuite vers la forêt.

L'ennemi détacha de sa ceinture une corne de ralliement, souffla dedans, la raccrocha et dégaina son arme. Percé recula d'un pas et se prépara à l'attaque de l'ennemi, il chargea et essaya d'assenner  un coup d'épée. Percé l'esquiva sans grande difficulté et le désarma en lui envoya un puissant coup de pied dans le bras tenant l'arme. Juste avant que l'arme toucha le sol, il poussa le brigant et récupera l'arme. En quelque seconde la position de force avait changer de côté, Percé attendit que l'assaillant attaqua, ce qu'il fit. Percé n'eut qu'à le faire tomber au sol et lui planta l'épée dans le corps, tandis que l'assaillant se vidait de son sang, une demi-douzaine d'ennemis apparurent. Trois vinrent du village tandis que trois arrivèrent de la forêt avec dans leurs bras les corps du reste de la famille inanimé.

Percé s'en rendirent compte et laissa place à la colère et la rage. Il fonça sur les ennemies vennant de la forêt, les mercenaires lachèrent les corps et se mirent en garde mais c'était trop tard. Un d'eux c'était déjà fait embrocher le torse. Percé retira l'épée du corp et se mit à attaquer un nouvelle assaillant, ce dernier envoya un coup au niveau de la tête du père de famille, qui n'eut d'autre choix que de parer. L'ennemi continua d'attaquer, ce qui fit reculer Percé. Mais lors d'une acalmie dans les assaults de l'assaillant, il en provitèrent pour contre-attaquer et il fit trébucher le mercenaire sur le corp de son confrère, se qui permis à Percé de lui donner le coup de grâce.

Mais pendant qu'il l'achevait, le reste des mercenaires le saisirent, le désarmèrent et le fit prisonnier. Il lui attachèrent solidement les mains et les pieds avec une corde épaisse, et l'emmenèrent ainsi que tous les personnes susceptible de pouvoir travailler en temps qu'esclaves. Une fois tous le monde réuni, ils les mirent les uns derrière les autres, et ils partirent pour une destination qui était inconnu des prisonniers. Percé n'était pas seul à s'être rebeller, d'autres eurent la même idée mais sans grande réussite. Mais le groupe de mercenaires qui était venu à une quainzaine repartirent à seulement une dizaine, ils avaient subi des pertes dû aux rébellion des villageois mais sa n'avait pas l'air d'affecté les survivants.