Douce histoire de vengeance

La pause de trop

Une nuit, en pleine forêt, pendant laquelle le convoi fit une pause pour se reposer, Percé fit passer le mot, à la vingtaine de prisonniers, de se rebeller, tenter de se liberer. Donc pendant qu'une partie des gardes dormait et que l'autre faisait des rondes de surveillance, les esclaves se levèrent doucement et se dirigèrent vers les mercenaires endormis. Mais en rempant, ils firent tomber une marmite qui fit en bruit suffisant pour reveiller les gardes. Pour l'exemple, ils en tuèrent trois.

Percé quand à lui, n'avait pas le suivi le reste des prisonniers. Il était allez là où c'était endormie un mercenaire, il était plus à l'écart que les autres ce qui était parfait pour l'éliminer sans attirer l'attention. C'était se que fit Percé, il l'étrangla avec les cordes qui lui servait d'entrave. Il se renda compte de l'écusson que portait le mercenaire, l'ecusson représentait une masse ornée de pointes. Il avait déjà vu se symbôle auparavant dans une taverne d'une ville avoisinante du lieux où il habitait. Il trancha ses liens avec l'épée de l'ennemi récement tuer, il la pris, et observa les rondes afin de cherchai les mercenaires isolés. Percé réussi à en éliminer deux avant que les autres ne se rendent compte qu'ils leurs manquaient du monde. Ils se mirent à compter les détenus, et se rendirent compte qu'il en manquait un. Percé avait compté un total de sept soldats, ils étaient en surnombre mais Percé pouvait les surprendre à tout moment.

Il se camoufla dans les herbes et tua trois gardes sans se faire repérer mais en assassinant le troisième, il se fit voir par les autres. Les survivants entourèrent Percé, deux ennemis se jetèrent sur lui pour essayer de le prendre en tenaille. Un détenu averti Percé qu'il y en avait un derrière lui, ce qui lui permit d'esquiver au dernier moment. Le coup du mercenaire étant déjà parti, il ne put l'arreter. Etant donner que Percé esquiva cette attaque au dernier moment, l'autre assailant ne put y échaper et se prit la lame en pleine gorge. Au vu du peu de nombre de soldat qu'il restait, les prisonniers se jetèrent sur ces derniers. Malgré le mort de deux prisonniers tous les autres furent libéré.

Cette expérience fit réfléchir Percé, il fouilla les cadavres des mercenaires, ramassa leurs bourses et il prit une épée. Chaque prisonniers partirent de leurs côté, mais Percé parti en direction de la ville la plus proche car il avait fait un choix, le choix de traquer le reste de la bande de mercenaire. Car la personne qu'il avait rencontré dans la taverne n'était pas dans ce groupe. Il se rendit compte qu'il ne savait pas se battre, pas se servir d'une épée et que donc il n'avait aucune chance. Une fois arriver à la ville avoisinante, Percé se rendit dans la taverne du village et chercha des éventuelles informations sur un maître d'armes mais en vain. Il arpenta les villes pendant des jours entier jusqu'au moment où on lui parla d'une personne vivant reclus dans une forêt.

Percé si rendit sans aucune difficulté, mais une fois devant la lisière de la forêt il se demanda si il avait choisi la bonne voie. Après avoir hésiter quelques instants, il pénétra dans le bois. Il marcha pendant une ou deux heures avant d'entendre une branche craquée sur sa droite, il se tourna dans le direction du bruit mais il ne vit rien à par une ombre, trop petite pour être celle d'un homme mais trop grande pour être celle d'un rongeur. Il continua son chemin mais juste au moment où il allait repartir, d'autres branches craquèrent et c'etait à se moment là que Percé comprenit qu'il n'était pas seul.