Chapitre 1

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Je me suis réveillée ce matin là, non pas par l'odeur de mon petit déjeuner, mais plutôt par des cris et des pleures. Je suis sortie de ma hutte en courrant, mon village était attaqué, le trois quart des habitations brulaient, la moitier des hommes étaient pendus a des arbres, les cadavres de femmes et d'enfants innondaient le sol. Je compris bien assez vite que, dans quelques minutes, la petite poignée de guerriers et guerrières seraient bientôt mort ou réduit en esclavage. Une main sur ma cheville me fit sursauter, je decouvris avec horreur et colère que c'était ma mère qui rempait sur le sol en me supliant de m'enfuire je refusai au depart voulant aller me battre contre l'enemi comme tous, mais je m'apperçus que si je voulais vivre pour les vanger je n'avais d'autres choix que fuire. Alors, je courrus au travers la forêt pedant des heures jusqu'à ce que je m'éccroule dépuisement. Apuyée sur un arbre, j'étais dans une colère noire, je venais de perdre ma famille entière et je n'avais que 15 ans. Comment allais-je survivre ? Au moins, je connaissais ce bois par coeur c'était notre terrain de chasse, j'avais entendu parler d'un village au nord d'ici la seule façon que j'avais de me sortir de cette merde était de trouver ce foutu village. Pendant des jours je marcha à travers un forêt qui devenait de plus en plus dense. La lumière avais peine a traverser l'épais feuillage des arbre qui m'entourais, après un moment je commança a ressentir de plus en plus la faim, la soif et la fatigue, tellement que j'avais peine a tenir debout, mais je devais être forte et sortir de cette maudite forêt pour trouver des gens avec qui je pourrais préparer ma vangence. Après je ne sais plus combien de temps, je finis par rencontrer une magnifique blonde qui avais les yeux de la couleur de l'océan qui dort. Elle portait une belle robe noire et rouge, j'étais ensorcelée par sa beauté qui n'avait de limite. Elle marcha avec grace dans ma direction, elle s'arrêta près de moi, pris ma main et m'entraina avec elle jusqu'à une très grande ville, il y avait un château d'après les gens de ma tribu si nous allions dans des villes comme celle la nous risquerions la mort alors, j'ai eu un frisson de peur dans le dos. Tout le monde était très bien habiller et ils me regardèrent avec rien de moins que du dégoût, sûrement parce que je venais d'une tribu sauvage et que j'avais une jupe en fourrure retenue par une ceinture de cuire et une peau de loup tombait sur mes épaules et descendait juste assez pour cacher mes sein la tête du loup me faisait une capuche pour quand il faisait froid ou quand il pleuvait. La femme qui tennais toujours ma main me fit entre dans ce que je crois être chez elle. C'était immense elle devait être très riche pour avoir une demeure comme celle ci à son age plusieurs personne pouvaient travailler toute leur vie sans même penser pouvoir avoir quelque chose du genre.

-Assois toi ici je vais soigner les blessures que tu t'ai fait.
Dit elle en regardant mes mains et mes pieds ensanglanté.
Je m'assoya donc sur la chaise qu'elle m'avait pointée. Elle mit quelques choses sur mes blessures qui me fit grimacer. Elle lacha un petit rire amuser devant la tête que je lui faisait.
-C'est donc ton village qui a été attaqué? Me demanda-t-elle avec une voix magnifique
-Pourquoi demander si tu connais déjà la réponse. Dis-je sur un ton froid et sec , la haine bouillait en moi, je voulais la mort de tous ceux qui avaient participer de loin ou de proche à cette attaque. Un léger sourrire apparus sur ses merveilleuse levres comme si elle avait compris ce que je venais de penser. Elle me tendis un repas que je dévora avec les mains, je salis a peu près tout ce qui se trouvait a un mètre et moins de moi. Elle eu l'air très découragée et posa sa main sur son front, non mais elle s'attendait à quoi sérieusement que les sauvages mangeaient avec leur bout de métal très bizarre? En fait, habituellement je dois me battre pour avoir un petit bout de viande et que les plus faibles meurts, ils n'ont pas leurs place parmis ma....mon ancienne tribu...
-Alors tu veux te vanger, c'est ça? Dit elle en relevant un sourcis

La sauvageOù les histoires vivent. Découvrez maintenant