sam

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Tous les matins, je voyais ce même garçon passer sous ma fenêtre, son épaisse capuche sur la tête même lorsqu'il ne pleuvait pas. Une fois, j'avais même aperçus le bout de son nez et sa coiffure noire charbon désordonnée. Chaque matin, je le voyais passer, ses mains au fond des poches comme pour les cacher du soleil. Et tous les jours à la même heure, j'attendais qu'il passe sous ma fenêtre.

Mais voilà une semaine qu'il ne passait plus.

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Livre un ; samOù les histoires vivent. Découvrez maintenant