Chapitre 15

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La patinoire était assez délirante, comme chaque activité plutôt banal qu'on décide d'entretenir.

J'ai mal aux fesses, à force de tomber sur mon postérieur... C'est Harry qui n'arrêtait pas de me chatouiller !

Niall: Démente cette soirée !

Moi: J'ai mal aux fesses !

Harry: Comment ça se fesse ?

Moi: Peut-être parce qu'un crétin du nom d'Harry me chatouillait et me faisait tomber sur les fesses !

Harry: Qu'est-ce qui fesse ? Tu as mal aux fesses ?

Je lui tape faussement l'épaule et il me tire la langue.

Zayn: Enfants !

Louis: Julie l'a toujours été.

Moi: Comme toi !

Liam: Je vais dans ma chambre moi.

Nous: Bonne nuit !

Il nous fait un bref signe de la main avant de gravir les escaliers.

Les lumières illuminent abondamment le salon et la pluie battante dehors rend l'atmosphère plus réconfortante encore.

Moi: Heureusement qu'il ne pleut pas dans la maison.

Niall: Ça aurait été la maison vraiment anglaise quoi...

Zayn: Non mais vous vous entendez ? Jamais on aura une conversation normale...

Louis: Jamais.

Niall sourit. Je lève les yeux aux ciel avant de sursauter sous la surprise de l'orage au dehors. Maudit grondement !

Moi: Ah non, pas d'orage !

Harry: Tu flippes petit coeur ?

Son nouveau surnom est aussi brutal que l'arrivée de l'orage. Mais je m'en fiche.

Moi: Oui, j'ai peur et ne te moques pas.

Harry: T'inquiète.

Noir. Plus de lumière, coupure de courent. Les lumières s'éteignent subitement et je laisse échapper un petit cri. Je sens un bras passer autour de moi et me serrer contre lui.

Harry: Chut... Va dans ta chambre...

Je tremble comme une feuille. Je suis comme pétrifiée et je n'arrive plus à bouger.

Moi: Je. Ne. Bouge. Pas.

Il me serre un peu plus contre son corps musclé et je sens sa respiration chaude sur mon front.

Je fini par me lever pour courir vers les escaliers, à l'aveugle. Pourquoi je cours ?! L'adrénaline ? Je ne sais pas mais je veins de me manger une marche en pleine figure et un bruit sourd s'entend prouvant ma chute.

Moi: Putain... Aïe.

Harry et Niall: Julie ! Ça va ?

Je me relève difficilement.

Moi: Oui oui ! Impecc'!

J'ai mal au front mais ça va hein ! Je continue de monter les escaliers avec rapidité.

Je me fourre dans mon lit en ôtant mes vêtements. Les grondements au dehors me font sursauter et mon coeur s'affole.

Je me mets en boule sous mes draps et je ferme mes yeux en essayant de trouver le sommeil.

The Story Of My LifeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant