XIII

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"I can't breath"

Point de vue de Gabriella.




J'étais tranquillement chez moi, en train de parler avec Tory. Depuis qu'on s'est vu à la boite bah, j'ai accroche. Il est assez gentil, marrant, et il dégage un truc de fou. Je sais pas quoi, mais merde, qu'est-ce qu'il m'attire.

Tory - Ca te dis que je passe te prendre ce soir ?

Gabriella - Pour ?

Tory - Qu'on fasse plus ample connaissance.. Et surtout parce que j'ai envie de te voir..

Gabriella - Mmh.. Quelle heure ?

Tory - 20h30. Envoie moi ton adresse.

Gabriella - 26 **** street.

Tory - À toute a l'heure Gaby..

J'ai déposé mon téléphone et j'ai fais le ménage dans la maison. J'avais mis la musique à fond et je faisais mon ménage quand j'ai cru entendre un bruit en bas. J'ai instinctivement baissé le volume et je suis descendu dans le salon pour trouver August, assit sur mon canapé les sourcils froncés.

Gaby - Sort de chez moi ou je le fais..

August - Essaye toujours.

Je me suis avancé vers lui pour le lever mais il m'a bloqué d'une seule main.

Gaby - C'est quoi ton problème merde ?

August - Tu sors avec Tory ?

Gaby - Comment tu sais ça ?

August - Donc tu sors avec...

Gaby - Et ton problème dans ça c'est quoi ?

Il me lache et se lève.

August - Tu sais pas a qui tu te frottes..

Gaby - Il est moins taré que toi déjà..

Il contacte sa mâchoire, je sais comment le piquer.

August - Je suis pas fou. Me cherche pas.

Gaby - Sinon quoi ?

August - T'es sure que tu veux que j'te montre ?

Vraiment Gaby, t'es sûre que tu veux voir ça ? Me demande ma conscience.

Gaby - Je ne crains rien..

Il hoche la tête.

August - Tu l'auras voulu.. Mais faudra pas pleurer après hein..

Il s'est avancé jusqu'à moi, et m'a plaqué contre le mur vivement. Ma tête et mon dos ont heurtés le mur si fort que j'ai cru que j'allais mourir. J'ai rien vu venir et j'avais du mal à respirer.

Je me suis laissé glisser sur le mur, cherchant ma respiration mais rien ne venait. August était devant moi, mais j'arrivais pas à voir son visage. Tout ce que je voyais c'était sa silhouette. Il s'est accroupit à mon niveau et m'a dis quelque chose que j'ai pas réussi à comprendre. Je me suis allongé sur le côté, cherchant définitivement de l'air. Mes yeux se fermaient petits à petits, les larmes coulaient le long de mes joues, c'était la fin. Pendant un quart de secondes, ma vision est devenu nette pour afficher le sourire narquois d'August.

Il a penché la tête sur le côté toujours en souriant, a claqué des doigts, et mes paupières ce sont fermés d'elles même.

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