Chapitre 1

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Quand j'arrivai au travail, j'ouvrais les locaux, allumais les lumières, mettais un peu d'ordre sur le bureau. La routine quoi. La porte d'entrée conduisait à la salle d'attente, et si on poursuivait dans le couloirs il y avait le bureau du demi-frère de mon patron. En fait j'avais deux frère. Mon bureau faisait face à la salle d'attente, à peine plus grande que mon salon avec des chaises inconfortables et une table basse garnie de magasines en tous genre. Et à côté de la bibliothèque qui était à gauche de mon bureau il y avait la porte du docteur, nommé M. Viriot. Je devais arriver toujours arrivé avant lui sous peine de réprimande et d'un renvoi en règle.J e préparais ensuite le café pour mon cher docteur qui ne pouvait pas commencer à travailler sans un bon café.

Moi je ne pouvais pas commencer la journée sans prendre un thé, chacun ses habitudes... Quand le bruit des ses pas résonna dans l'entrée, j'étais assise sagement derrière mon bureau entrain de boire mon thé entrain de consulter les rendez-vous de la journée comme une employé parfaite.

-Bonjour Mirna, lança-t-il

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-Bonjour Mirna, lança-t-il.

Cela faisait environ un mois que je travaillais ici, et je n'étais toujours pas habitué à son physique. Son apparence me laissait perplexe. Il avait des yeux marrons, et une peau très claire, il devait être âgé d'une trentaine d'année environ et il était beau, et c'était ça le problème. Pas du genre beau, d'une beauté renversante. Mais je ne vous éprenez pas, je ne l'aime pas, c'est juste que sa beauté m'impressionne. Normalement à cette âge là, on commence à avoir des rides et tout mais pas lui. Peut être que j'ai juste de stupides préjugés.

-Bonjour Monsieur Viriot, répondis-je après un moment, il me considéra en fronçant les sourcils.

-Mirna ne m'appelez pas par mon nom s'il vous plaît, vous me donnez l'impression d'être vieux.

Et bah justement j'avais l'impression que vous étiez vieux, parce que selon la logique à trente ans on ne peux pas ressembler à un mannequin qui semble avoir vingt-cinq ans.

-Pardon, Monsi... je me repris aussitôt, pardon Raphaël.

Il poussa un soupir qui me fit sursauté, je fis mine de ranger des papiers.

-Si des patients arrivent envoyer les moi d'ici une dizaine de minutes.

-Oui, Monsieur, mince, je veux dire oui Raphaël, et il pris son café sur le comptoir sans un merci.

Ses lèvres s'étira pour formé un sourire qui m'aurait faire craqué si j'étais une adolescente. Puis il entra dans son bureau l'air de rien. Tous les jours il me répétait la même chose et je ne pouvais pas m'empêcher de l'appeler par son nom. Par contre avec son collègue qui n'est autre que son demi-frère je m'entendais un peu mieux sauf quand il me cassais les couilles.

Justement en parlant du loup. Enzo entra dans la pièce et me servit un sourire dévoilant une parfaite dentition.

-Bonjour Mirna, comment allez vous? Il avait dans la main un café, au moins lui il n'oblige pas sa secrétaire à faire son café. Il était aussi beau que son frère mais lui il avait un regard intense.

MirnaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant