Épidémie

Chapter 1: Lundi

6 heures 49.

•Encore une journée qui s'annonce longue.
Le week-end est fini, les réveilles à midi aussi. Je ne suis jamais d'humeur de bon matin. Je me lève enfin, le trou noir, la tête qui tourne, je me suis levée trop vite.
Je prend mes affaires, et part en directions de la salle de bain.
Une bonne douche fraîche pour me réveiller.
Préparation ! Je détache mon chignon fouillis, un coup de brosse sur mes long cheveux noir. Brossage de dent.J'applique un trait d'eye-liner, et une bonne couche de mascara, pour beaucoup de volume à mes cils. Du beurre cacao, vue que mes lèvres son naturellement rose. Ma peau est blanche et pâle. Je ressemble à un zombie.
Je retire ma serviette et m'habille d'un gros pull gris bouffant, vue qu'il fait froid, d'un leggin noir, de converse noir et d'un bonnet noir. Basique. En temps réelle, niveau style, c'était plus couleur vive tout sa. Mais on arrive en hivers, il fait froid, j'ai pas envie de chercher à bien m'habiller. Même si j'aime beaucoup. Je descend les escaliers, mon eastpack noir sur le dos, comportant quelque affaire. Beaucoup de noir hein ?

-" Hé Cata' ! Ça va ?" Me dit ma mère, souriante, le café contre ses lèvres.

-"Salut man', je suis un peu à la bourre, j'y vais bisous !"

-" Prend ton petit déjeuner avant !"

-"Pas le temps, en plus je mange jamais le matin."

-"Tu devrait !"

Je fit un bisous sur le front à ma mère et ma petite soeur qui regarde un dessin animé.

Je court à toute vitesse ne manquant pas de me faire écraser, se qui me fait crier et sortir mon plus beau doigt d'honneur au conducteur.
Je sort une cigarette, la pose entre mes lèvres, avance ma main pour l'allumer, et aspire la fumer que je re-crache ensuite.
Je rentre dans le bus, bonder ou je trouve une place.
Beaucoup de personnes tousse, ou se mouche.
En voilà un qui crache ses tripe, la main contre sa bouche.
Il crache du sang.
Son regard se pose sur moi.
Ses yeux, injecter de sang.
Son visage plus pâle que moi.
Il ne tien plus sur ses jambe, tente de ne pas tomber, tribuche et se retrouve au sol. A sa chute, il c'est agripper fort à ma jambe, tellement fort qu'il ma griffer ce salaud. J'ai sursauter.

Les portes s'ouvre à ce moment là.
Je sort, il me semble avoir vue, cette homme d'environ quarante ans, tremblant, et crachant du sang.
Les personnes autour, ne sachant que faire, perdu, les yeux grand ouvert. Le conducteur se tourne, jette un regard sur l'homme, et reprend le volant.
Il sent fou clairement.
Le bus passe devant moi, et part dans sa direction.
Moi je part dans la mienne.
Cinq minute de retard alors que c'est le premier jour.
Je toque à la porte, éssouffler.
La voix rauque du professeur de français se fit entendre:

-" Entrez !"

Je pousse la poignet.

-"Excusez-moi pour le retard."

Je lève mon visage, je me perd dans les magnifique yeux gris du professeur.
Wawe, une vrai bombe.
Ses cheveux en bataille, aussi noir que l'obscurité, sa chemise noir, ainsi que son jean slim noir. Beaucoup de noir ! J'aime les hommes avec ce style la. Il a l'air mystérieux, dangereux, et tellement sexy.

-" Heho ! Aller vous asseoir. Mademoiselle ?"

-"Catalya Clark."

-"Catalya Clarck. Dit-il le sourire pleine de malice, montrant une petite feaucette. La prochaine fois que tu traverse la route, soie plus rapide, et évite de faire des doigt, c'est pas polie."