Chapter 2: Mardi

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7 heure 04

Merde ! Je vais encore être en retard !

Je me lève d'un bon, et coure vers la salle de bain.
Pas le temps de prendre de douche, je me lave ce soir.
Brossage de dent, un peu de mascara. Mon visage est pâle, pire qu'hier.
J'ai passer une horrible nuit, je faisait des cauchemars, de cette homme...
Du coup je ne voulais plus me rendormir.
J'ai des horrible cernes.

Je passe un coup de brosse, direction le dressing.
Il est 7 heure 30 ! Déjà ! J'ai rater mon bus...
Je vais devoirs y aller à pied.
Le temps est vraiment pourrit.
Il pleut, il fait même tellement sombre que je ne distingue pas un seul rayon de lumière.
Les nuages gris flotte dans le ciel, ne laissant pas la place au soleil.
Il doit faire un froid glacial.

Je porte un jean vert kaki, avec un débardeur noir moulant, une veste en cuir noir, des bottes noir. Que du noir.
Une écharpe bouffante kaki et voilà !
Je retrousse les manches de ma veste en cuir, se qui montre mes nombreux tatouage sur mon bras et mes poignet.
J'adore mes tatouage.
C'est comme un bouclier.
J'ai l'air plus dur avec, moins féminine.
Mais je l'est aime tellement.
Je ne l'est montre pas souvent, d'ailleurs j'ai un rendez-vous ce soir chez le tatoueur.
Il n'y a plus de place, faudrait que je cherche ou mettre celui-ci...

Je chope mon sac, un sac style vieux, trouée, avec des "stickers" Nirvana coller dessus et AC/CD.

-"Salut mon Ange, tu n'est pas assez couverte hein !"

-"Désoler j'ai pas le temps maman, tu sais ou il est mon portable ?"

-" Sur le comptoir, d'ailleurs tu ne devrait pas le prendre, il a coûter une fortune cette IPhone la; tu le casse t'en aura plus !"

-"Oui maman, t'inquiète ça va. Et mon briquer il est où ?"

-"Tien, tu devrait arrêter."

-"C'est un peu trop tard. Bisous maman."

-"Attends, et tu ne m'avait pas raconter se qu'il c'est passer hier ? On ma appeller Catalya hein !"

-"Pas le temps, ce soir sûr. "

Je lui fait un câlin et un bisous sur le front comme à mon habitude. Pareille pour ma petite puce, mangeant un croissant, concentrer sur son dessin.
Elle a de la chance de commencer à 8 heure 30 !

-"Je t'aime maman."

-"Moi aussi mon coeur, coure vite !"

Je sourie. J'ai cette petite impression que c'est la dernière fois que je la voie...

Invention. Je perd la boule.
Ho putains mais il pleut trop !
Je met mes écouteur, et active la radio, j'ai vraiment pas envie de courir, pour qu'après je glisse c'est mort.

Je peu pas non plus fumer vue comme il pleut.
J'ai mal à ma jambe...
L'autre taré du bus qui m'a griffer là.

La radio:

-j'espère que la chanson What do you Mean de Justin Bieber vous a plus, il est en tourner da-》

J'aime pas du tout Justin Bieber.
Je change et tombe sur quelque chose qui me trouble.

-ui, hier matin, dans les environs de 7 heures 40, un bus est passer au dessus d'un pont. Il a donc sombré dans les profondeurs. On n'a tout de même réussi à le sortir. Il n'y a eu aucun survivant mise à part un homme qui a miraculeusement survécu à cette accident. Un homme de la quarantaine, devenu agressif et gravement blessé, nous ne savons pas encore son nom.
Les autres passagers de se bus on était mystérieusement démembré.
Il est impossible de parler a l'homme en question. Un témoin nous déclare avoir vue la scène.
"Il est devenu fou, quand ils l'ont sortie de l'eau, il s'est mit à grogner. Il l'ont menotter c'était impossible de le calmer. Il me faisait vraiment peur, ces yeux était blanc, il lui manquer plusieurs partie du corps, doigt, oreille. C'était épouvantable, je n'est jamais vue sa de m-》

J'étais arriver devant mon lycée.
Impossible de me retenir, j'ai vomis par terre.
Ma tête tournée. J'étais sur d'une chose.

Sûr que c'était cette homme la, que je voie dans les vision dans mon cauchemar et hier au bus, de mes propres yeux.
C'était ce bus.

Je tousse, et m'appuie contre le mur.
Je suis trempé jusqu'au os.

-"Mademoiselle Clarck ! Que faites vous ici ?!"

Merde, le directeur. J'ai envie de rentrer chez moi plutôt qu'il me gueule dessus. Il regarde dans quel état je suis. Mouiller, vomissant mes tripe, je veux pas imaginer ma tête.

-"Catalya, vous n'êtes pas dans votre état !"

Le directeur doit avoir 35 ans.
Un belle homme, sans plus.
Il s'avance vers moi prend mon sac, et je passe mon bras autour de son coup, il pose sa main sur mon basin.

-"On va se mettre à l'abri."

Je ne le distingue pas vraiment vue les goûte de pluies qui couvre mes yeux.

Nous entrons dans une petite pièce, avec un lit, une grosse couverture, un lavabo, un miroir et toilette.

-"Tu à quoi comme court ce matin ?"

-"Mathématiques."

-"D'accord, reste ici débarbouille toi, enlève tes habilles je vais les séchés si tu ne te sent pas bien."

-"Je vais le faire merci."

-"Comme bon te semble, je vais appeller tes parents."

-"Non, je vais mieux, j'ai juste pas manger ce matin."

-"Tu doit manger. Je ne peu pas te garder dans l'enceinte de ce Lycée dans cette état Catalya."

-"Non, j'insiste je veux rester, je vais beaucoup mieux, juste séché mes habille et me réchauffer."

-"Bon, d'accord, tu ne veux pas d'autre habille ?"

-"Non, je l'est laisse séché sur le chauffage pendant 30 minutes et c'est bon."

-"Il vont être humide."

-"Tant mieux; il fait super chaud dans les classes, même trop."

-"Ok, je reviens je te rapporte du pain ou yaourt."

-"Merci beaucoup."

Il souris et ferme la porte derrière lui.
J'enlève ma veste en cuir, la pose sur le long chauffage, ainsi que mon débardeur et mon jean.
Je l'essor au dessus du lavabo, et fait de même.

Mes chaussettes aussi son complètement trempé.
Je l'est retire avec mes converse.
Je suis en sous vêtements, lingerie noir dentelle sa craint.
Je me regarde dans le miroir, mes cheveux se colle sur mon visage, mon mascara a couler, mes lèvres son violette et je suis encore, encore plus blanche que autre fois.
Quelqu'un toque. Merde je suis a moitier à poil la !

-"Tien mange, sa va te faire du bi-"

Trop tard.

ÉpidémieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant