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« sur la musique, on va, on vient, on s'éloigne et on revient, puis tu t'élances et je te tiens, je te retiens du bout des doigts, pour te ramener contre moi.

sur la musique, on va, on vient, corps contre corps, main dans la main, plus rien n'existe, plus rien de rien quand je te tiens du bout des doigts pour te ramener contre moi. »

«et puis on m'a dit que la nuit tu cherchais à revendre ton âme au diable pour qu'il te rende moins laid[e], plus fort[e], aimable et stable. pourtant t'es beau [belle] comme une comète j't'ai dans la peau, j't'ai dans la tête. et quand bien même y'aurait que moi, tu peux pas t'en aller comme ça, parce que t'es beau [belle] comme une planète, j't'ai dans la peau, j't'ai dans la tête. j'te le répèterai tant qu'il faudra, tu peux pas t'en aller comme ça. »

« mais il faut pas qu'tu désespères, perds pas espoir, promis juré qu'on la vivra notre putain d'belle histoire. ce s'ra plus des mensonges, quelque chose de grand, qui sauve la vie, qui trompe la mort, qui déglingue enfin l'blizzard.

imagine toi t'es là en train d'te r'prendre un verre au bar quand tout à coup tu croises un regard qui t'perfore de part en part.

imagine toi t'es là, ça t'tombe dessus sans crier gare, un truc bandant, un truc dément qui r'donne la foi. »

je sais pas vraiment?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant