Chapitre 3: Ah, le sarcasme ! J' adore le sarcasme !

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Je le regarde et le questionne du regard.

Zac: Ta pas genre oublier un truc ?

Je regarde sur la chaise où j' étais assis il y a même pas deux secondes. Rien. Je le regarde et fronce les sourcils en faisant un sourire d' incompréhension.

Zac: Pour le milk shake, il était pas bon ?

Moi: Oh ! Désolé, oui merci ! J' ai apprécier, après... le truc là.

Zac rigole et se lève a son tour, il pose la monnaie sur la table et se met en face de moi.

Zac: Tu compte garder sa pour toi ou .... ?

Moi: Tu pense que ce serai une bonne idée de en parler au patron ?

Je grimace, ce qui le fait rire, d' un rire clair et mignon.

Zac: Si elle compte continuer avec tout ce qui bouge... je pense que vaudrai mieux, je sais pas moi... la surveiller ?

Moi: On a pas que sa à faire de la surveiller, j' ai du boulot et toi aussi !

Zac: Pas tord ! Tu pense qu' on devrait en parler, alors ?

Moi: Mets toi à sa place... essaye.

Zac: Impossible, je fais pas ce genre de trucs moi !

Moi*en haussant un sourcil*: Vraiment ?

Zac: T' es pas sérieuse ?

Moi: Si.

Zac ouvre la bouche et la referme, en soupirant. Je rigole devant son exaspération.

Moi: Rhô, c' est bon ! Mais je pense que ta raison, vaut mieux en parler à Tony. Même si sa me plait pas de faire la caf' teuse !

Zac: Ben vient ! On a que sa à faire de toute façon, le temps qui répare TES dégâts !

Je lui lance un regard noir, avant de me retourner vers l' ascenseur. Il me suit, tranquillement et sans aucun commentaire. Dieux merci ! Une fois arriver devant l' ascenseur, j' appuie sur le bouton pour l' appeler. Problème. Zac appuie dessus au même moment, ce qui fait que nos doigts s' entremêlent. Je croise son regard et une brusque chaleur s' empare de moi au niveau du ventre et de la poitrine. Je retire ma main, un peu trop vivement d' ailleurs. Il enlève la sienne une seconde après. Je ne sais même pas pourquoi j' ai réagit comme sa ! Mais les émotions sont des choses que je contrôle assez mal, je devrai dire. Je suis pas une molasson, mais il m' arrive de fondre en larmes pour un rien. Je sais... c' est ridicule. Mais sa me fait toujours du bien. Je sort de mes pensées pour entrer dans l' ascenseur dont les portes sont ouvertes. Zac s' y glisse à ma suite. Je prend garde de ne pas appuyer sur le bouton et de le laisser faire, ce qu' il remarque et ses lèvres s' étire en un sourire narquois. Je tourne la tête tandis que les portes de l' ascenseur se referme, me laissant avec Zac dans un espace un peu trop petit pour mon petit coeur, qui bat à 300 battement par minute ! Je respire doucement, je me concentre sur la pression que mon corps subit à cause de la monter de la boîte de conserve, où on se trouve. Un " Ding " retentit et les portes s' ouvrent, me laissant sortir et me prendre en pleine face une bourassque d' air fraie du bâtiment ! Eh oui, le trajet en ascenseur est plus long sachant que la cafétéria se trouve au -1 *étage* ! On se dirige vers la porte du bureau de notre patron et cette fois-ci, c' est moi qui toque et ouvre la porte quand le " entrée " de l' homme qui est notre patron se fait entendre. Tony est assis sur sa chaise avec un stylo à la main et une tonne de papiers éparpillés sur son bureau. Il lève la tête et nous de dévisager avec étonnement, sûrement surpris de nous voir ensemble.

Tony: Oui ?

Je regarde Zac et lui fait un geste de la main, pour lui dire de commencer. Il secoue la tête et me fait comprendre d' un geste de la tête, que c' est moi qui doit le dire. Je mord ma lèvre inférieure et le fusille du regard. Sans que je comprenne pourquoi, il tourne la tête avec rapidité évitant mon regard. Je fronce les sourcils et décide de passer grée dessus avant de me jeter à l' eau.

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⏰ Dernière mise à jour : Dec 26, 2013 ⏰

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