Call me "Hyung" !

Partie 1 sans titre

Genre : Yaoi, lemon, quotidien

Paring: Zico + J-Hope

Nbrs de CHPS: One- Shot

Je tournai les clés dans la serrure même si je titubais un peu je pouvais encore voir net, j'étais complètement pinté bourré, non seulement ce n'était pas mon jour dû au fait que cette conasse, elle venait de m'abandonner, de rompre avec moi pour un connard un abruti plus riche que moi, je lui détestais je la haïssais au plus profond de mon cœur. Tenant ma bouteille d'Heineken en main j'entra avec des pas à peine formés et précis, au salon il n'y avait personne même pas ce petit crétin de colocataire que j'avais, je m'affalai sur le canapé qui faisait face à la télé, je n'arrêtais de boire encore et encore, jusqu'à plusieurs minutes quand j'entendis un bruit derrière moi, je me retournai instentament laissant place à mon « colocataire » qui était debout au début de notre couloir il me regardai comme si j'avais la peste ce petit insolent. Je me mis à sourire pour me lever et avançait à pas de tortue bourré vers lui, il s'approcha de moi

-Laisse je vais t'aider *voulant me faire passer ma main au-dessus de ses épaules*

-Maintenant tu connais le mot aider, c'est surprenant * déposant mon bras sur le mur prêt de lui*

J'avais approché mon visage du sien, il m'avait dévisagé alors je me suis rappelé de toutes les misères qu'il me faisait subir depuis qu'on vivait ensemble....

Un petit connard qui s'amusait à faire le ménage pendant que j'étais câblé devant la télé, le bruit de l'aspirateur n'était pas mon ami en plus mes habits sales qui trainaient dans ma propre chambre il venait me les balancer en plein visage même devant mes amis, je ne voulais pas m'énerver contre lui vu que j'étais son hyung et que je devais montrer l'exemple du respect mais lui il ne m'appelait même pas hyung pour lui c'était comme un blasphème vu qu'il n'a jamais eu de grand-frère : je me retenais grave pour ne pas lui casser la gueule surtout devant ma Erine qui malheureusement avait fait de ma vie son jeu. On ne se parlait et se voyait que rarement, même si parler de mes problèmes à quelqu'un me manquait je m'abstenais avec lui, chacun avait ses problèmes ne pas déranger l'autre.

Je pris son visage d'une main avec mes doigts je serrais son visage à déformation, il me regardait calmement sans aucun problème, pris d'une attirance de ses lèvres sèches je l'embrassa de toute la force et la rage dont je pouvais faire preuve, j'étais en colère et en rage contre ma Erine, je l'embrassais mélangeant nos langues même si il boudait dû au fait que ma bouche sentait le vin. Je finis par attraper son visage de mes deux mains accentuant le baiser il m'attrapait les avant-bras pour que je puisse lâcher prise parce que franchement je ne sentais plus beaucoup mon souffle, j'entrepris de bouger avec lui jusque dans ma chambre un peu titubant mais ça se sentait qu'il soutenait notre démarche, ce baiser on le coupait comme ça puis on recommençait, un de mes bras passa derrière son dos pour serrer l'étreinte à mon corps. Arrivé à la porte de la chambre il réussit à se défaire de mon emprise me poussant jusqu'à mon lit avant de vouloir m'abandonner

-Tu pars où ? *puis-je dire un peu la tête qui tournait*

-Dormir, vu que tu te sens un peu mieux enlèves tes chaussures et dors...

-Et ça il en ai hors de question *ramenant littéralement son corps sur le lit*

Il cria un peu surpris par mon geste avant que je ne lui prenne par les hanches déposant violement son corps sur le lit, ses cheveux vinrent sur son visage pendant qu'il avait envie de parler, je ne lui laissai pas ce temps quand je trompai ma bouche grossièrement dans la sienne donnant naissance à un baiser brutal et tout fait, il répondait malgré qu'il voulait me frapper au fond ça m'amusait ce jeu dont je m'y adonnais. Ce baiser fut son chemin à la profondeur de son cou que je suçais me rappelant les gémissements de Erine, lui il gémissait que très peu donc résultat je me donnais à fond comme pas possible la tête cognait mais comme si mon remède s'était de vouloir faire l'amour ; je léchais son menton descendant pour poser mes mains à son t-shirt noir écrit en anglais mais j'avais franchement pas le temps de lire, je le lui retira en un clin d'œil puis dans le reflex j'enleva le mien m'attaquant à ses clavicules je tirais sensuellement cette peau toute blanche qui rougissait déjà, ses mains à s'enfoncer dans mon dos faisant des montants comme pour calmer la douleur, je parcourus ce torse magnifique laissant des piques prolongeant encore le jeu, j'avoues que j'aimais le lécher et entendre sortir de sa bouche des soupirs d'aises et des gémissements.