"Je ne sais pas pourquoi, mais se soir je suis d'humeur pensif et l'envie d'écrire me prend. Il est 4:02 du matin exactement, et j'ai envie d'écrire mes mal-êtres, qui apparement ont décidés de remontés se soir. Je n'arrive pas à penser à d'autres choses que les pires événements qui pourrait m'arriver. D'habitude fumer me permet d'oublier efficacement mes problèmes, qui habituellement m'empêche de dormir, mais la rien y fait. Je pense que les écrire pourrait m'aider à aller mieux, comme une auto-thérapie. Mais par les quels devrais-je commencer ?
Peut-être ma première année de quatrième, qui fut sûrement l'une de mes pires années de ma vie, il y avait ce connard, il s'amusait à me frapper, humilier et ce tout les jours. Ça seul explication était, "je sais pas pourquoi toi, mais c'est marrant", que je hais ce misérable individu. Ou je pourrais parler de l'autre péripatéticienne, qui a joué au bowling avec mes sentiments, ma confiance entant que quille et mon cœur comme boule de bowling. Ou bien mes trois tentative de suicide lors de ma première année de quatrième.
Je pense que je n'aurais jamais la chance d'avoir de la chance, ni goûtez au bonheur que seulement certaine personne peuvent atteindre, par un parfait mélange d'amour, d'argent et d'entourage amicale et parentale. Déjà pour le côté parentale, je vais devoir attendre de faire mes propres enfants pour le connaître. J'aime ma mère et mon père aussi, mais je ne peux pas dire que j'ai réellement reçu une éducation, j'ai plus du m'en faire une que l'apprendre. Mais se n'est pas le plus gros des problèmes que j'ai. Tu vois j'écris se texte comme si je l'écrivais a quelqu'un, mais rare son les personnes qui te liront. Où alors je m'écris à moi-même, serais-je schizophrène ?
Peut-être bien mais dans ce cas seulement pour mon bien. Je sais pas si je suis fou ou bien tout simplement humain dans cette nouvelle génération du monde. L'un de mes plus gros problème est mon manque de confiance en moi, j'ai peur pour chaque truc que quelqu'un de normal n'as pas peur. Ou il y a le fait que je sois feignant, je ne veux pas travaillé loin de moi cette idées. Mais après je n'ai pas envie de vivre, si c'est pour vivre comme le chemin commence à se tracer.
J'en suis déjà loin dans les lignes, ça fait 18 minutes que j'écris maintenant.
Je sais que si je n'arrange pas mes problèmes de jalousie, je perdrais ma femme à cause de ça et je ne veux pas ca à déjà détruit ma mère, je veux pas que Mathilda subisse la même chose, à cause de moi..
J'ai peur de travailler, parce que je sais que je m'achèterai plus de drogue qu'autre chose, et je pourrais pas m'en empêcher.
Depuis tout à l'heure j'écris et plus j'écris mieux je me sens, je me sens comme soulager tout ses poids que j'avais sur le cœur. Je crois ne mettre jamais réellement confié à quelqu'un ou même à l'application "note" de mon téléphone, de ma vie. Pourtant j'en ai écouté des gens de passage dans ma vie ou non, j'ai conseillé plusieurs personne et quasiment personne n'a jamais pu m'entendre me plaindre ou me confie, personne ne m'a conseillé. Plus le temps passe plus je me dis que ma vie ne vaut pas la peine d'être vécu plus longtemps, je sais que c'est rien, c'est juste une période de ma vie, mais le problème c'est que cette période dur depuis 19 ans maintenant, et qu'elle n'a pas l'air prête de s'arrêter. 19 ans c'est un bon âge, non ? Enfin bref je ne sais plus quoi dire mais mes doigts ne veulent pas s'arrêter. Comme si je devais continuer, continuer à me vider l'esprit et le cœur, mais je ne vois plus quoi dire.
Si, je sais, il y a quelque chose qui me perturbe, je n'arrive pas à avoir de réelles souvenir d'avant, quand j'étais petit, au collège et même le lycée, soit je n'ai plus de mémoire soit je me suis effacé la mémoire comme une sorte d'auto-défense. Je ne sais pas mais ça me turlupine.
Et bien je pense que j'en ai fini, malgré cette sensation qui ne s'en va toujours pas, je n'en peux plus de la ressentir, je la ressent chaque minutes , de chaque jours qui passe, elle me bouffe de l'intérieur petit à petit, je ne sais pas comment l'effacer comment l'oublier, comment la faire disparaître même occasionnellement. Je n'en peux plus, je craque, si jamais Mathilda me quitte, je quitte aussi..
Bonne lecture à toi qui trouve se texte écris si rapidement mais qui est très fort émotionnellement, a bientôt lecteur ou adieu..."