Il m'aime, il ne m'aime pas....

Ma maladie

Plusieurs disent que la mort ne leur fait ni chaud ni froid ,mais tout le monde à un peu peur de la mort. Plusieurs veulent savoir la façon dont ils vont mourir, mais dès qu'il sont devant la mort ils pleurent et chialent. Le problème c'est qu'il y a des personnes comme moi qu'ils savent qu'ils n'auront pas d'avenir, qu'il n'auront pas d'enfants, ni amis, ni de vie palpitante . Il doivent faire des traitements pendant que des personnes de notre âge font le party en même temps. Le bon Dieu, existes-tu vraiment , si oui pourquoi d'autres doivent tant souffrir. Pourquoi nous? Voilà la question... La question que personne ne peut répondre. La question qui pourrait nous sauver la vie, mais que personne à la réponse. La question à mille point. Pourquoi nous parmi tout ce monde?

Aujourd'hui, je n'ai pas de traitement à faire. Je vais pouvoir profiter de mes derniers instants de vie pour aller magasiner. Quand à avoir de l'argent, vaut mieux en profiter pour me faire plaisir. Je marche seule ,car j'ai demandé à ma mère de me laisser,mais elle ne voulait rien entendre. Disons que nous nous sommes chicanées à propos de ma maladie, je lui ai dit qu'elle ne savait pas c'est quoi se faire suivre partout. Se faire traiter comme une personne dangereuse, elle a commencée à pleurer et moi furieuse , je suis sortie. Elle n'a pas affaire à pleurer, pourquoi elle pleure quand c'est moi la malade. Elle ne comprend rien et ne comprendra jamais rien.

Arrivée au magasin, je suis directement allée au magasin de confiserie pour m'acheter du chocolat. Je marche dans le magasin quand je vois une petite fille qui pleure ,car sa mère ne veux pas lui acheter le bonbon qu'elle veux. Je pris le bonbon qu'elle voulait et j'allais à la caisse afin de lui payer. Je m'approche de la petite fille et lui donna celui-ci. La mère me remercia et je lui donna juste un sourire heureuse d'avoir fait un bon geste.

J'étais sortie du magasin avec la bonne impression d'avoir fait une bonne action. Dehors, il neigeait. J'avais eue la brillante idée d'apporter mon manteau d'hiver, mais plus loin deux gars n'en avait pas. Je leur demande si ils ont froids, mais bien sûr même en voulant paraître confiante, je commença à bégayer.

- V...vous n'êtes p..pas fro..froid?

Ils commencèrent à rire de moi à cause que j'ai bégayée.Bande d'idiot, je suis allée leur demande si il avait froid, car je m'inquiétais pour eux et eux rient un bon coup de moi. Ils avaient détruit ma bonne humeur. Furieuse, je m'apprêtais à répliquer quand un gars d'environ mon âge apparût et leur demanda:

- Vous n'avez rien mieux à faire? Vous riez d'une jeune demoiselle venu vous demandez si vous avez froid et vous lui répondez en riant d'elle. Quelle gentleman vous faites!

Il se retourna vers moi et je pus enfin voir le visage de mon héros.

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