Il fait froid.
Je n'ai jamais eu si froid que sa en devient enivrant.
Les minces toiles qui me sépare du monde extérieur me semble certes infranchissable mais elle ne son pas un obstacle au froid ambiant.
Nous sommes sûrement en hivers, du moins je l'imagine.
À vrais dire je ne sais pas où je suis.
Je demanderai bien aux dame de maison de m'apporter un brasero ou un vêtement chaud, ou même un vêtement tout court.
Je me suis réveillé couché dans cette chambre dans mon plus simple apparat et gelé comme si j'avais dormis sous la neige.
N'aillant pas le courage de demander aux habitants de ce drôle de lieux où je me trouvait, j'ai feint le sommeil lors des deux précédents passages des femmes de chambre.
Elle ne semblaient gère gêne par ma nudité quand elles venaient changer les
bandage que je portait au bras, pensant que je dormais.Le froid aillant surpassé mes peurs j'étais résolu à demander un brasero au prochain passage des femmes.
Je craignais leurs réaction quand à mon réveil mais faute de choix j'allais devoir affronter mes hôtes.Je me lève en faisant le plus de bruit possible et fait les cents pas dans ma chambre.
J'entends les voix des femmes qui s'agitent, elles m'ont entendu.
Quelque minutes plus tard la porte s'entre ouvre et les femmes entre avec des vêtements et un brasero.
Elle me font mettre une grande robe de soie bleu et me coiffent à la manière des guerriers, rasé sur les côtés avec un chignon sur l'arrière du crâne .
Malgré mon insistance aucune ne daigne répondre à mes questions.Une fois habillé, coiffé et réchauffé on me montre la porte.
Je sors et je comprend enfin pourquoi j'avais si froid. Ma chambre et celle des servantes sont en pleins milieu d'un terrain enneigé.
On me fait signe d'avancer et petit à petit je découvre que nous sommes sur une montagne.
Sur ma gauche un petit bois silencieux et sur ma droite une pente raide descend sur une centaine de mètre jusqu'à un petit port, et plus haut dans la montagne se dresse une fière demeure. Mais quel que chose me dérange.
Il semblerait que qu'un partie de la demeure est été arrachée comme par une énorme bourrasque.On s'approche des escaliers menant à cette demeure et je distingue sur le flanc droit qui m'était jusque alors invisible d'énorme trace de pas à demis recouvert par la neige.
Pas des trace humaine. elle monte jusqu'à la partie de la maison à moitié arraché et elle semble venir du petit port
Je m'approche du bord et ce qui m'avais d'abord semblé être un feu de camp que quel qu'un aurait fait pour se réchauffer à presque tripler de volume !
Le village brûle ou plus tôt ce qu'il en reste brûle.
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dans jardin pleure un héron
FantasyDans un Japon féodal entre complot et traîtrise, un héron se pose dans un jardin, L'eau est calme et il attend, immobile Non loin de là un moine compose un aire de flûte apaisant Deux homme discute d'affaires d'état sut un petit banc Puis de l'ag...