Chapitre 1~ Femme fatale

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Dans une pièce sombre, dans cette pénombre où l'on voient des ombres se cambrer. Ces corps bougent avec sensualité éclairés par la lumière des éclaires. Le son de la pluie et du tonnerre accompagnent le bruit des gémissements et du lit qui grince. L'odeur de la sueur qui perlent les corps et qui glissent aux formes en fait un spectacle érotique. Le corps de la femme est si beau qu'à son touché la mains glisse d'elle même, on peut la comparer à une peau de pêche. Ses lèvres rosées ont le goût de fraise, un sourire apparaît sur son visage, elle lèche ses lèvres. La pièce devient soudainement calme, seul le tonnerre et la pluie sont entendue. Les corps cessent de bouger, tout devient figé. La fenêtres devant le lit laisse entré les éclaires et illuminent la scène. La femme se lève du lit puis s'avance, le noire s'installe.

Le matin à 8 heure la femme au cheveux rouge tressés met ses talons à l'entré puis sort de l'appartement. En sortant du bâtiment elle regarde le soleil, comme elle le fait toujours pour bien commencer sa journée. Munie d'une paire de lunette et d'une sacoche, elle prend le bus qui arrive pile à l'heure. En sortant elle marche vers la gare pour prendre le train comme tout un chacun. Elle s'assoit à côté des portes puis ce met à lire un livre jusqu'à ce que le conducteur annonce sa station. Elle sort de la gare et prend un autre bus qui l'emmène jusqu'à devant son lieu de travail . Elle entre, ce dirige vers l'ascenseur appuie sur le bouton du 2ème. Arrivé à son étage, elle salut tout ses collègues de travail, puis s'assoit à son poste.

A son arrivé le comportement de ses collègues est étrange comme d'habitude. Elle est consciente de sa beauté et connaît les conséquences de celle-ci. Depuis son premier jour elle avait fait très bonne impression auprès de la gente masculine. Une femme parfaite, à proprement parler, un physique de rêve, une personnalité calme et posé ainsi que sa gentillesse. Même si ses collègues ne voient que son physique, sans ses lunettes les hommes ne peuvent plus travailler et tombe sous son charme. Seul son patron peut rester maître de lui et voir son comportement exemplaire. En général elle cache sa beauté pour ne pas être harcelé tout le temps. Mais cela n'empêche pas les autres de ce souvenir de sa beauté donc ils ont développé un certains intérêt envers elle. Des fois ils lui font des avances d'autre se chamaille pour simplement lui apporté du café, les hommes la traitent comme une reine. Et c'est justement dans ce but que la jeune femme avait montré sa beauté le premier jour. Elle ne se cache pas réellement sinon elle l'aurait fait depuis le début, mais cela l'amuse de voir des hommes ce battre pour elle et aussi la servir. Les femmes sont jalouse d'elle par sa beauté et les faveurs des hommes mais l'admire pour son travail et son tempérament. Cette femme à l'aspect envoutant s'appelle Onai Kanata.

Le midi elle mange une pomme sur son bureau et rien d'autre, elle refuse touts invitations à diner. Ses collègues ne l'on jamais vu manger plus qu'une pomme. L'après midi elle dois rendre visite à son auteur, car oui Kanata est une éditrice. L'auteur avec qui elle travaille s'appelle Teika Musashi, 27 ans et célibataire. Bien sur Kanata n'a pas le droit de révélé sa beauté à cause du patron. C'est pourquoi la visite chez lui est plutôt calme et détendu, Kanata ce sent à l'aise là-bas. Le transport pour le travail étant gratuit elle arrive en taxi vers un bâtiment de 9 étages. Elle monte au 4ème étages puis sonne à la porte D. Musashi l'auteur vient l'accueillir comme le fait un auteur envers son éditeur. Il lui montre son travail, puis discutent des points à améliorer après l'avoir lu.

Ses journée ce résume à ça, conseiller son auteur, rapporter le manuscrit à la maison d'édition et d'annoncer les probables adaptation et publication. Si elle n'est pas à son boulot, elle est chez Musashi, ses journées de repos tombe le dimanche et le lundi. En général le dimanche elle reste chez elle à se reposer, mais le lundi elle part péché toutes la journée. Plus précisément elle part péché des hommes, ses goût varie selon son humeur. Que ce soit un homme d'affaire, un gangster, un concierge ou un passant, elle arrive à les séduire et à se rendre chez eux la nuit pour se nourrir. Kanata n'est pas une femme ordinaire qui aime le plaisir de la chaire. Pour elle c'est vitale car elle est une créature démoniaque qui absorbe l'énergie vitale des humains pour manger. Les succubes ne peuvent pas vivre sans manger pendant plus d'un mois. Kanata en est bien consciente, mais parmi ses semblable elle est la succube qui joue avec la vie des hommes et mange plus que nécessaire. Kanata est la signification même de la femme fatale.

OnaiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant