{Karma x Oc}{Assassination Classroom} Assassine dans l'âme.

4. Soirée

"Karasuma : Excellent... Tu es la première qui m'a eu, avec une très bonne technique. Tu es sans doute une des meilleures de cette classes."

Cette phrase résonnait dans ma tête. Moi ? Une des meilleures ? Sur le coup, je ne sais pas quoi répondre. De plus, tout le monde me regarde, qu'es ce que je suis censée faire ? Je n'ai pas l'habitude que une seule personne me regarde, alors une classe entière ! En plus pour une fois, ce n'était pas parce qu'on me trouve bizarre ou je ne sais quoi. Merde, sa doit faire une quinzaine de seconde que je ne dis rien ! Vite... dis quelques chose !

Moi : Me-merci...

Bien évidemment je balbutie, je parie que mes joues sont même légèrement rouge. Je retourne dans le groupe avec les autres, pour l'entraînement normal. Je vais vers Nagisa et Kayano pour qu'ils me montre les exercices habituels. 

Pendant que je me pers dans mes pensées, je viens de remarquer un truc, Karma, il n'est pas là.

Moi : Nagisa ? Karma n'est pas là ?

Nagisa : Ah sa, il a l'habitude de sécher. Surtout les entraînements, il est lui aussi un des plus forts, Koro-Sensei ne lui a pas autorisé, mais Karma et le règlement... Enfin voila.

Moi : Ah je vois, merci.

Il a l'habitude de sécher ? Le fourbe ! Il se la coule douce pendant que les autres s'entraîne ! Il n'a pas vu mon entraînement... Wait ! Qu'es-ce que j'en ai à faire ! Qu'il ait vu ou pas, je m'en fiche. 

L'entraînement terminé, il faut bien que je rentre chez moi, donc que je redescende cette montagne. Je vois un groupe d'élève de la classe partir ensemble. Je pourrai allez les rejoindre, mais je n'aime pas trop rentrer avec des gens, je préfère écouter de la musique. A midi j'ai entendu qu'il y avait un train, mais sa ne m'avancerait a rien de le prendre. La station ou il s'arrête après l'école est plus loin que chez moi, je vais donc rentrer a pied. Je mets mes écouteurs et une playlist au hasard. Je descend la montagne et marche jusque chez moi, si je préfère écouter la musique à parler aux gens, c'est car avec la musique ont peut se perdre dans ses pensées, alors que quand on parle aux gens, il faut se concentrer sur la conversation. De plus, la musique ajoute de la vie au trajet, c'est comme dans les films avec la musique de fond, sauf que comparé aux personnages de films ou d'animé, la musique on l'entend, et ont peut rêver.

P.D.V. Omniscient

Alice venait de rentrer chez elle, ses parent n'était toujours pas rentré. Déjà dans leur ancienne maison ils rentraient tard, faute du trafic. Mais là, leur travail est encore plus loin. Ce sera donc faute du trafic et de longue distance, pensait Alice.

Elle vit un post-it de sa mère sur la table, qui disait qu'il y avait a manger dans le frigo. Sa mère lui avait laissé un plat de nouilles a réchauffer. Ce n'est certes pas du luxe, mais Alice et ses parent n'ont pas vraiment eut le temps de s'organiser pour ce qui est du quotidien. 

Alice soupirait en attendant que le plat au micro-onde réchauffe. Elle ne voit pas ses parents a midi, premièrement car elle avait décidé de déjeuner a son école, et deuxièmement car de toute façon ses parents ne rentrait pas à midi. Puis elle ne les verrait pas non plus le soir. Elle ne les verrait que le week-end et le matin, et encore, de courte durée le matin. Alice n'était pas très matinal, elle se réveillerait sûrement juste a temps pour se préparé et ne pas arriver en retard à l'école. Elle avait toujours fais comme sa à Paris, et sa n'allait pas changer au japon.

Elle prit son assiette et monta dans sa chambre où il y avait son bureau en face de la fenêtre, face au mur et son lit, dans le coin de sa chambre. Elle remarqua la lumière allumée chez son voisin au cheveux rouge, elle jeta un regard par la fenêtre mais elle ne vit personne en face. Elle en déduit donc qu'il n'était pas dans sa chambre. Du moins pas dans le champs de vision que laissait entrevoir la fenêtre. Elle ferma ses rideaux et baissa les stores. Oui, les stores aussi, car c'était la période de fin Mars, donc la période où le soleil se lève de plus en plus tôt, donc où la lumière réveil les gens le matin. Alice détestait de base être réveillée le matin par un réveil ou une quelconque personne humaine ou animal, alors être réveillée par la lumière du putain de soleil en plein dans sa gueule, sa fait pas plaisir. 

Elle mangea vite ses pâtes tout en traînant sur Youtube, elle passait beaucoup de temps dessus, à regarder diverse vidéaste humoristique en tout genre ou des musique aussi rock que permis, avec ses écouteurs bien sur, pour éviter de réveiller tout le voisinage. Elle irait surement sa guitare dans un entrepôt désaffecté qu'elle avait aperçu. Au moins là, personne ne l'entendrait.

Elle voulu déballer les quelques cartons qui traînaient encore dans le salon, ses parents avaient déjà monté tout leurs cartons dans leurs chambres, ils devait rester une dizaine de cartons qui appartenaient tous à Alice. Elle en monta deux ou trois, elle voulait décoré un minimum sa chambre. Ils avaient déjà commander une armoires pour ranger ses habit et probablement un bordel de babioles qu'Alice adorait. Par babioles, on peut comprendre figurine, petite pierre précieuse qu'Alice adorait et quelques montres-à-gousset. Alice aimait beaucoup l'horlogerie. Elle trouvait ces machines tellement parfaite. Elles tic et tac toujours a l'intervalle le plus régulier et exact Car après tout, une horloge, sa représente le temps qui passe, les secondes, les minutes, les heures, les jours, les ans et les siècles. Une horloge, ne remonte pas le temps, elle avance dans le temps. Une machine où le temps de se répète jamais mais où le cycle se répète indéfiniment. 

Mais a part cette armoire, son lit et son bureau elle n'avait rien dans sa chambre. Elle négocierait pour avoir des étagère, mais en attendant, elle rangerait le contenu de ses cartons dans les tiroirs de son bureau. Elle ne savait plus le contenu de ses cartons. Elle avait essayer, pendant le déménagement de ranger pas logique, mais, pressée par le temps, elle n'avait pas vraiment réussi et encore moins eu le temps de noter et feutre noir le contenu des cartons, comme l'avait fait ses parents. 

Le premier carton qu'elle ouvrait contenait ses une partie de ses mangas, en dessus de la pile, L'Attaque Des Titans, un de ses manga préféré qu'elle rangea dans une de ses tiroirs avec les autres. 

Le deuxième contenait ses cahiers de dessins. Elle ne dessinait pas beaucoup, mais selon son entourage c'était beau. Elle, elle ne trouvait pas sa si joli, mais bon, si les autres aimait. Enfin, dire qu'elle ne dessine pas beaucoup n'est pas tout a fait vrai. Parfois elle passait des semaines sans prendre un crayon dans sa main, et parfois elle passait des nuit blanche de nuit a dessiner ce qui lui passait par la tête.

Le troisième et dernier cartons qu'elle avait monter, elle aurait préféré ne pas l'ouvrir. C'était un album photo. Un vieil album photo. Un des seuls même. Il datait d'une ancienne époque qu'elle voulait oublier. Dans ces photos, ils y avait elle et lui. Deux personnes qu'elle donnerait tout pour les oublier. Elle ne sait pas pourquoi elle avait garder cette album. Sûrement par nostalgie, c'est ce qu'Alice se disait. C'était une ancienne époque. L'époque de ses cheveux brun, de son insouciance, ou elle connaissait la vrai joie, les vrais sourire et le bonheur. Une belle époque, mais une époque révolue. Elle fermait vite cet album et le mit tout au fond dans son dernier tiroirs.

Sa montre indiquait 22 heures, ses parents toujours pas rentrer, elle ne voulais pas attendre qu'ils rentrent. Alice alla vite enfiler un pyjama et se mit au lit. Puis, comme a chaque nuit, a penser. Elle avait de quoi ce soir là. Ces impression sur sa classe était plutôt, voir très, bonne. A part le trajet, tout avait l'air bien, pour une fois. Ce qui lui fit le plus bizarre, ce n'est même pas son professeur poulpe jaune, mais ce sont les élèves. Ils lui ont parler normalement, sans porter de préjuger sur elle. Aurait-elle enfin une classe de gens sensé et intelligent ? Elle espérait. Enfin pouvoir parler normalement avec des gens, serait-ce enfin possible ? Seul l'avenir le lui dira. Ce à quoi elle n'arrêtait pas de penser, enfin à qui plutôt. Son camarade Karma. Sa lui faisait bizarre de voir quelqu'un d'autre avec les cheveux rouge, mais ce qui faisait encore plus bizarre, c'est qu'il soit son voisin. Juste en face de sa fenêtre. Elle garderai souvent les volets fermés. Mais pourquoi n'était-il pas là a midi alors qu'en général il mangeait a l'école ? Alice ne preferait pas y penser. Après tout, il avait l'ai drôle, et son sourire plaisait a Alice, un sourire plein de malice, un peu similaire au sien, un sourire... beau ? C'est sur cette pensée qu'Alice s'endormit.

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1541 mots ! Ce chapitre est assez centré sur Alice et moins sur la classe etc, mais j'éspère que sa vous plait quand même ! Je vois que vous êtes de plus en plus a lire et j'en suis contente ! J'éspère que ma fanfiction vous plait !

Agnes-Chan