Un jour je suis rentrée, fatiguée, énervé. Oui, énervé de cette vie impossible, de ces critiques quotidienne, oui fatiguée de ma vie. Une simple vidéo a détruit ma vie, sur internet les erreurs sont éternels, tout le monde m'a tournée le dos même ma propre famille.Alors je me suis défoulée sur le papier, me libérant de ce poids que je n'arrivais plus à supporter, l'emprise infernale dans lequel j'étais engrangée se desserrée peu à peu de moi. Mais la douleur était trop insupportable, et le papier ne suffisait plus alors j'ai commencé à me défouler sur mes bras. J'avais toujours mal mais la provenance de la douleur était différente et c'était plus facile à supporter. Mais à force tous ça ne m'aidait plus alors un jour en rentrant des cours après une journée rempli d'insultes, je me suis enfermée dans la salle de bain. Lame de rasoir à la main, j'ai tracée ces douces lignes qui auparavant m'aidaient tant, puis je me suis emparée de la boîte de médicament près de l'évier, et j'ai avalée les cachets un par un jusqu'à la fin. La pièce c'est mise à tourner autour de moi avant que je tombe, ma tête se cognant contre le marbre blanc. La dernière chose dont je me souvienne avant que mes yeux ne se ferment, c'est des pas dans les escaliers mais surtout des cris suppliants de ma mère.
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A l'encre de mon esprit.
RandomIci, je mettrai des textes, des citations (pas de moi)...