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On commence doucement. Des bisous dans le cou, des suçons. Je m'approprie ta peau. Nos langue se mélange et on perd nos vêtements. Tu t'es mis sur ton 31 bitch ?
Excuse-moi, c'est le mélange qui me fait dire ça. Bébé, t'es trop belle putain. Ton charme peut chambouler n'importe quel homme. Mes baisers descendent sur ton épaule droite, ta poitrine. Ta belle poitrine que tu ne mets jamais en valeur. Pourquoi ? Elle est si belle. Je l'embrasse, enfoui ma tête dans son creux. Tes tétons se mettent à pointer. Je ne suis pas le seul a aimer ça alors ? Retiens mes efforts. Parce que je me retiens de ne pas commencé tout de suite. Parce que je sais que t'aimes la douceur. Je descend vers ton nombril, Je lève la tête pour te regarder. Les yeux fermés, la bouche entre ouverte, ta respiration se fait de plus en plus forte et irrégulière. Je m'approche de ton intimité. Ton pantalon ? Disparu. Ton string ? Disparu, lui aussi.
Je commence. Je la chatouille, puis rentre un doigt, ma langue est attiré comme un aimant, mais comme on dit «le meilleur pour la fin». Tu étouffes un cri lorsque je le balade. Je te donnes tant de plaisir ? Un deuxième doigt, j'accélère mes aller-retour, tu ne peux pas t'en empêcher, un cri sort de ta bouche. Tu luttes, mais tu vas vite abandonné après ce doigt, le troisième. Je te regarde dans les yeux et lorsque je vois que ton plaisir approche à grand pas, je les retire. Tu te bloque, relève la tête avec un regard perdu, et moi je te regarde, un sourire au coin des lèvres. Je m'approche de ta moule et tu me regarde avec un air désespéré dans les yeux. Je vais te torturer de plaisir avec plaisir pour mon plaisir comme pour le tiens. Un coup de langue et ton bassin se lève, ton dos se courbe et une grande inspiration est prise, entre tes dents. Tu vas aimer, je te le promet. Plusieurs coups de langue se font sentir et il sort, enfin. Je l'attendais. J'aspire. Voilà pourquoi je disais que tu étais bonne, Bébé. Ta respiration se fait beaucoup entendre, ce qui me permet de savoir que c'est a ce moment que j'arrête tout. Tu chuchotes mon nom. J'espère que tu le referas car c'est grâce à ça que mon caleçon est serré. Tu es à bout ? Parfait. Je t'embrasses la bouche, en prenant soin de complètement me coller à ton corps et te malaxant ton seins gauche. Tu déboutonnes mon pantalon ? T'inquiète, j'ai compris le message. Je retire moi aussi mes vêtements et je me ré approprie ton intimité. Je te pénètre doucement pour t'habituer. Puis les mouvements deviennent rapides, tes fesses claque sous ma mains et sous mon corps. On atteint rapidement l'orgasmes. Ta tête va en arrière tandis que ton bassin se lève, laissant un espace entre les draps et ton dos. Je suis toujours en toi et attrape de mes deux mains ton dos pour te prendre dans mes bras. Nos corps ne font plus qu'un, nos respirations aussi. Pendant toute la nuit ça a était la même chose et c'était l'une des meilleures nuit de ma vie. Bébé, je crois bien que je suis tombé amoureux de toi.

Bourgeoise.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant