Chapitre 2

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2003, Dallas, Texas.

Une femme avec un chapeau rose, des lunettes mouches noires, robe blanche avec des fleurs roses, des santiags blanches et par dessus tout une doudoune noire. On est le 5 janvier, il pleut dehors Baylor University Medical Center. Il y a une pancarte avec une grande fléché qui indique l'hôpital dessus il écrit Direction, le forum des grand blessés en rouge. Les gens se précipitent à l'intérieur de l'hôpital pour prendre place. Tout le monde semble enthousiaste à l'arrivée des visites dans la salle principale. Un brouhaha retentit dans toute la salle et des applaudissements quand des vétérans blessés pendant la guerre en Irak montent sur scène. Une salle qui capable d'accueillir plus de 500 personnes, et ; aujourd'hui a fait plus de la moitié de la salle est remplis. Il faut dire que c'est un forum qui attire beaucoup de gens notamment venus de tout le continent. Cette grande femme s'assoit au premier rang, pourtant, la chaleur de la salle à cause projecteurs, elle n'enlève pas cette doudoune et son chapeau. Le docteur Bail, un homme d'une cinquante années avec un costume noir et des lunettes ronds est l'invité principal. Il est l'auteur du livre « Défiguré pour toujours » ; il est un médecin qui fait l'étude de la recherche d'un médicament pour lutter contre les terreurs de nuits pour les patients qui reviennent de la guerre. Une méthode qui a démontré un léger progrès mais on a pus notés beaucoup de suicide parmi les vétérans choqués par les atrocités. Aujourd'hui, le docteur Bail est venu discuter de l'avancé de ses recherches pour améliorer son médicaments : the blue tiger. Il se lève de sa chaise avec ses feuilles pour atteindre le pupitre ; il tient à lire ses notes. Soudain, comme un coup de tonnerre, on entend la foule s'affole et crie dans tout les sens. La femme au chapeau rose et sa veste noire a tiré avec une carabine de chasseur sur le Dr Bail. Une balle dans le torse qui l'a transpercé de plein cœur. Maintenant, le voilà parterre entrain d'agoniser sur le sol quand surgit sur le coté les hommes de la sécurité pour l'encercler et la désarmé puis la faire tomber parterre. Elle est toute de suite emmenée dans une autre salle à l'extérieur. La panique envie tout le monde et les secours arrivent au bout de 5 minutes. Le docteur est emmené en salle d'opération pour essayer de le sauver mais malgré les efforts le docteur Bail succombât à ses blessures. Après trois heures d'interrogations, la jeune femme d'une quarantaine d'année qui s'appelle Marie Bella ; une européenne devenu schizophrène à cause d'une agression lorsqu'elle était plus jeune ; elle pensait que le Docteur Bail allait la changer mais au contraire comme dans ses propres termes la détruire plus que ses agresseurs. Une agression qu'elle a vécut dans sa vingtaine et depuis, à 40 ans elle ne souhaite pas a passer a autre chose. Alors, elle a pris une arme qu'elle a cachée sous sa veste et s'est sentie une âme de guerrière lors de ce forum. Un article est sorti tout de suite dans la presse après pour parler de la folie à l'hospital Baylor University Medical Center. Tout le monde était au courant d'une meurtrière qui a assassiné un médecin révolutionnaire mais personne ne connaissait les vraies raisons de son geste. Les télévisions du monde entier se sont rivées sur cette histoire pour chercher à comprendre le comportement suspicieux de Marie Bella.

Marie Bella a été placé au Dallas County, elle a été condamné a 120 ans de prison, elle a demandé d'être déporté en Europe, mais sa demande à été refusé. Aujourd'hui, elle purge sa peine calmement. Des radios, des télévisions et des reporteurs sont venus du monde entier. Elle ne regrette pas son geste, au contraire, elle justifié cette acte car elle pense avoir était une double victime. Des psychiatres ont comparés cette étrange phénomène a celui des innocents qui rentrent dans une prison et ils doivent purger une peine qu'ils n'ont pas commises. Ils resortent de cette expérience des hommes plus dangereux que ceux qui ont commis des crimes. Il y a un coté psychologique déterminant dans l'approche a surveiller une personne fragile. Dans un documentaire américain sur les femmes violentes en prison, un reportage sur une chaine américaine très connue, Marie Bella s'est ouverte au journaliste d'une manière très ambivalente.

-Bonjour Marie Bella, premièrement j'aimerai vous penser comme question : C'est quoi le Bonheur pour vous ?

-Le bonheur, c'est la famille, les enfants, l'éducation des enfants. Les voyages, les livres et la bonne nourriture surtout italienne. J'aime beaucoup les pates, on mange beaucoup de pates en prison dit Marie Bella avec un large sourire dans sa combinaison blanches et rayures noires avec des menottes autour du ventre.

-Pensez avoir atteint le bonheur ? Malgré ce qui s'est passé ? demande le journaliste.

-Mais a votre avis ? qu'est ce qui s'est passé ? J'ai été victime a deux fois il me semble normal et logique de me défendre. Ses hommes ont abusé de moi, ils ont pris mon innocence. J'ai pas plus supporté. Ce jour là, j'ai vue rouge. Ensuite plus rien.

-Quel est votre sentiment de culpabilité envers cet homme que vous avez abattu ? demande le journaliste.

-Je me sens fautive car ce n'est pas lui qui a abusé de ma confiance. C'est Lucas, mais, mais, je ne sais pas quoi vous répondre dit Marie Bella de façon inaudible et triste.

-La société est elle coupable de votre mal etre ? demande le journaliste.

-J'ai le sentiment que tout le monde me hait dit Marie Bella soucieuse et craintive de la réaction des autres.

-Pourtant vous semblez être décontractée par rapport au meurtre en lui même ? demande le journaliste.

-A la mort de Kennedy, avez vous demandez a Lee Harvey Oswald, si c'était un complot ? Parce que moi j'ai étais victime d'un complot. Quand on agit mal c'est parce qu'on a un motif, n'est ce pas dit Marie Bella qui change de regard et devient noir et perçant.

-Un complot ? je ne comprend pas demande le journaliste

-Les critiques penseront ce qu'ils voudront, dans mon cas, je ne serai pas dur envers moi parce que le Docteur Bail, lui, voulait me voir rater dans la vie. Cette fois, j'ai été plus rapide. Je l'ai contré a temps dit Marie Bella.

L'interview continue, cependant, on note que MarieBella, après son premier traumatise, elle n'est plus jamais redescendit surterre. En effet, elle est devenue un cas paranoiaque qui voyait le mal partoutautour d'elle. Dans la conclusion du documentaire, le reporter fait état d'untrouble bipolaire et voir même schizophrène d'une patiente qui n'a jamaiscompris a intégrer et à s'adapter a s    

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