My lesbienne

2. Pourquoi elle

Maman: Adria !

J'ouvre doucement les yeux, aveuglés par toute cette lumière.
Je rêve ? Il est quelle heure ? Je n'ais tous de même pas dormis toute la matinée... si ?

Maman: Adria ! Descend tous de suite !

Oh putaaain ! Quoi de mieux que de se réveiller et entendre sa mère gueuler !
Je prends une grand inspiration et m'assois au bord de mon lit. Allé, courage. Tu finis cette journée et ensuite tu retourne au lit...comme d'habitude.

Tania: Ah, t'est réveillé ?

Je me fige. Est-ce la voix de... oh fais chié. Qu'est ce qu'elle fout là ? PUTAIN ! j'avais oublié qu'elle passait les vacances ici... bordel.

Maman: ADRIA !!

Moi: J'ARRIVE !

Je passe ma main dans les cheveux suivi d'un long soupire.
Tous les jours, c'est tous le temps la même chose. J'en ai marre.

Tania: Tu veux que je t'aide à t'habiller ?

Moi: ...Et pourquoi j'aurais besoin de ton aide pour m'habiller ?

Tania: je ne sais pas. C'est la seule phrase qui m'est venu en tête lorsque je t'ai vus te lever du lit.

Lorsqu'elle ma vus me lever du lit ? Mais qu'est ce que... ah. Ouais. D'accord. Qu'est ce que je fais maintenant ? C'est le malaise... le gros malaise.

Moi: Quitte ?

Je dis tout en emballant mon corps dans la couverture....Il va falloir que je change mes mauvaise habitudes.

Tania: Quitte.

Ça passe, je n'ai pas honte de mon corps, au contraire. Je suis assez fière de ma silhouette dû à pas mal d'effort physique. Heureusement, je suis en pause niveau sport, car j'ai un peut perdu toute motivation.
Je recommencerais lorsqu'on arrêtera de me mater dans la rue. Et... pas seulement dans la rue.

Moi: Tu est obligé de me regarder alors que je suis entrain de m'habiller ?

Tania: Tu ne devrais pas avoir honte, je te trouve très attirante.

Je n'ai pas honte. C'est juste gênant qu'une fille qui m'est encore inconnue me fixe à poile alors que j'essaye de m'habiller.

Moi: Tu est gay ?

Je demande finalement sans aucun gêne. Ça m'étonnerait qu'elle réponde oui, car malgré ses cheveux court et son look à la badgirl, elle reste très féminine dans ses gestes et dans sa voix.
Elle éclate de rire.

Tania: Tu rigoles ?! Il manquerait plus que ça ! Enfaite, j'ai même un petit ami, si tu veux savoir.

Voilà, qu'est ce que je disais. Elle est incroyablement attirante elle aussi, ce serais du gâchis d'être lesbienne: les gars raffollerait devant une nana comme elle. En ce qui concerne son petit ami, je m'en fou.

Tania: T'aurais préférée le contraire ?

Moi: Hein ?

Sans même me laisser le temps de réagir, elle plaque mon corps contre l'armoire. Je laisse un gémissement de douleur, du au choc.

Moi: Qu'est ce que tu fous ?

Malgré mon ton strict, elle passe sa main derrière mon dos nu et sa cuisse entre mes jambes. Je serre les poings et retiens ma voix lorsqu'elle presse sur mon endroit intime.