Bonus

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Ewii, c'est pour ça qu'aucun chapitre n'allait sortir avant janvier, je vous ai bien eu ! Mouhahahaha ! Bon, ce bonus ne se passe pas quand Ayana a 11 ans mais quand elle est bébé, c'est tout ce que j'avais à dire. Bonne lecture !

William observait la fumée de sa cigarette partir dans les airs, la neige tombait à gros flocons sur lui. Assis sur un banc, il ne bougeait pas. Il était huit heures, la nuit était depuis longtemps tombé et les derniers passant et voitures se dépêcher de rentrés. Ce soir c'était noël, ou peut être la veille, William n'avait pas pris la peine de savoir le jour qu'il était lors de sa nouvelle fugue. Il n'allait pas tarder à finir trempé, ou enterré sous la neige, au choix, mais il ne bougea pas pour autant. Alors qu'il rouvrait ses yeux fermés, il vit au dessus de sa tête le visage souriant d'une femme, ne sursautant pas, il remit sa cigarette a la bouche avant d'expirer à nouveau. Bien, c'était une femme, mariée probablement au vu de sa bague, en or sertit d'argent, probablement partit rejoindre sa famille au vue de son maquillage et de sa coiffure soignée. Bien jusqu'à la tout concordé, mais pourquoi donc cette femme c'était arrêtée au dessus de lui ? Élan de pitié, plus que probable, autres solution invalides. Ignorant l'analyse qu'elle subissait, la femme lui sourit, << Are you okay ?! >> demanda t'elle dans un anglais maladroit, française au vue de l'accent. << Je parle français, Oui, je vais bien, pourquoi avait il pris la peine de répondre ? Il aurait du l'ignorer.
- Oh ! Tant mieux, ria t'elle, je ne suis pas très bonne en anglais ! >> elle lui sourit avant de s'assoir à côté de lui, en profitant pour le protéger avec son parapluie. [ je m'en fiche, pourquoi est elle encore ici ? Pitié ? Probablement... ] pensa William en scrutant la femme du coin de l'œil, celle-ci était étrange, elle portait un long manteau avec un énorme sac mais ne paraissait avoir aucune difficulté à le soulever, ses cheveux bien ordonné avait pourtant quelques mèches qui ressortaient, rebelle et bouclé ou venait se figer quelques flocons. <<- Tu as 15 ans pas vrai ? Que fais tu encore dehors à cette heure ci ? Lui demanda t'elle doucement, brisant le paisible silence.
- Je pourrais vous demander la même chose, vous êtes une femme mariée au vue de votre bague, vous étiez probablement en train de vous rendre à une fête familiale au vu de vos vêtements et de votre coiffure, vous vous êtes arrêter en chemin pour acheter une dernière chose que vous aviez oublié, peut-être un cadeau, vous étiez pressé, votre coiffure le prouve, elle est bien construite mais pourtant certaines mèches ressortent, alors que faites-vous donc encore ici  ? Retourna t'il, ce n'était pas logique ! Les sourcils de la femme se plissèrent, elle allait partir, encore.
- Comment as tu su tout ça ? Répondit elle
- Simple question de logique. >> Détourna t'il, la femme se leva soudainement et William ferma instinctivement les yeux, s'attendant inconsciemment à la claque. Yeux qu'il réouvrir soudainement en sentant la femme le tirer en avant, babillant Joyeusement, << OH Mon dieu ! Elle vas t'adorer, tu n'as nulle part où aller pas vrai ? C'est parfait ! Il faut absolument que tu viennes, elle va être tellement heureuse ! Oh, pardon, j'ai oublié de me présenter, je m'appelle Clémentine, Clémentine Reajina, mais appelle moi Clemie ! TAXI ! Mince, mais tu es trempé, tu peux pas te présenter ainsi, remarque, je dois avoir quelques vêtements à ta taille, tu préfères costard ou simple ? Non, le costard t'ira mieux ! Il faudra te recoiffer aussi. J'espère que tu aimes le piano et les motos. Ah, ne soit pas trop surpris en arrivant, remarque tu dois déjà être surpris... C'est pas grave ! 13 rue de la tour mon brave, merci, sinon tu aimes la science ? Elle adore ça ! Tu risque d'avoir à papoter formule avec elle mais tu verras, on s'habitue vite. Tu sais danser ? Ah c'est vrai, je ne t'es pas demander, comment tu t'appelles ? >> lui dit elle rapidement sans s'arrêter, l'emportant dans un taxi vers une adresse qu'il n'avait pas eu le temps de mémoriser sous le babillage intempestif de la femme, le temps qu'il trie toute les données accumulées, le taxis s'était éloigné de l'endroit où il était quelque minutes avant. Bien, malgré sa surprise son esprit logique était resté, deux questions se posés, la première était "qu'à donc fumer cette femme pour faire aussi facilement confiance à un inconnu" et deuxièmement qui était elle ?! Il remarqua alors que la voix de la femme, Clémentine nota mentalement William, c'était tut, attendant vraisemblablement quelque chose, le taxi s'arrêta alors qu'il s'apprêtait à répondre, il n'eut même pas le temps de dire big Ben que Clémentine avait déjà payé et le tirait en dehors du taxi. << Alors, s'exclama t'elle en continuant de le tirer, ton nom ?!
- William Addams ! Mais qui est elle ?! Demanda t'il, essoufflé en voyant apparaître un petite maison illuminé devant lui,
- Elle ? C'est ma femme bien sur ! >> ria t'elle en ouvrant la porte, envoyant par la même occasion une bouffer d'air chaud au visage de William. La maison dans laquelle il rentre est chaude, accueillante, tellement différente de la sienne. Des décorations la parcourent d'un peu partout, le sol,  du carrelage, brille un peu, reflétant la lumière. C'est bête, mais William s'y sentait bien, comme si cette maison dégageait une atmosphère spéciale, différente... Clémentine, la femme qui l'a entrainé ici est tranquillement en train de se déchaussé pour mettre des chaussettes géantes, en laines de couleur noire et rose, bizarre, pourquoi des chaussettes ? Alors qu'il en était a la de ses réflexion, une femme portant un bébé dans ses bras, il devait a voir tout au plus 6 mois, arriva dans l'entrée. Elle portait une robe moulante noire, ses cheveux noir et rouge flottait autour d'elle, ils devaient lui arrivé au bas des reins, voir un peu plus longs. Malgré son apparence semblerait il normale, quelque chose clochait dans le physique de la femme, effectivement celle-ci portait des gants blanc dans l'intérieur. Pourquoi un port de gant ? Seulement deux solutions apparaissaient dans l'esprit perplexe de William, en même temps il avait de quoi l'être. Soit elle avait froid, peu probable au vu de sa tenue légère et de la chaleur de la maison où alors elle était mysophobe, affirmation qui fut détruite quelques secondes plus tard face au baiser langoureux qu'échangèrent les deux femmes. William détourna les yeux, pas vraiment gêné mais c'était une question de politesse, cette femme était une antithèse... Un peu comme Clémentine, elles étaient toutes les deux difficiles à analyser, pas impossible mais il fallait y consacrer une attention toute particulière. Entre temps, le baiser entre les deux c'était terminé et elles discutaient tranquillement, William recommença à écouter en cours de route,
<<- Cambert est arrivé ? demanda doucement Clémentine
- Oui, il nous attend dans le salon, tu veux prendre la petite ? Lui répondit la femme
- Je veux bien, marre des gants ?
- Extrêmement, je suppose que la raison de ton contre temps est ce jeune homme ? Questionna la femme en donnant l'enfant à Clémentine.
- Oui, tu as tout compris ! Il te plaît ? Répondit innocemment Clémentine en prenant le bébé, William releva la tête en se sentant concerner.
- J'ai du mal comprendre, qui est il ? Dit la femme en scrutant William
- Ton cadeau de noël ! Sautilla Clémentine, laissant les deux autres seuls dans l'entrée.
- C'EST TRÈS GENTIL MA CHÉRIE MAIS IL EST UN PEU JEUNE ! Hurla la femme avant de se reconcentré vers William, tu es frileux ?
- Euh, non, répondit William, prit au dépourvu, la femme enleva ses gants en tout réponse et lui tendit une main pale.
- Je suis Hélène Reajina, mais on m'appelle Chess, lui dit la dites Chess en lui serrant la main.
- William Addams, enchanté, frissonna William, la main de la femme était gelé ! Il avait son poignet sous ses doigt et il ne sentais pas le pouls de son interlocutrice.
- De même William, aller, rentre vite, tu es trempé on doit bien avoir des vêtements de rechange pour toi, l'attira Chess en souriant,
- D'accord, je commença William mais il fut soudainement interrompu par un claquement bourru de son épaule.
- Hey ! Salut le jeune ! Gronda une voix grave derrière lui.
- Cambert, ne fait pas peur à notre invité, susurra la voix de Clémentine qui se trouvait au fond du couloir
- Tu n'es pas drôle sœurette, à qui veux tu que je fasse peur à par lui ? Ronchonna la voix grave, probablement un homme.
- Ne fais pas attention à lui, viens te changer, tu vas attraper froid sinon, lui dit Clemie en s'adressant à Wiliam
- Laisse moi me présenter au moins, s'exclama la voix, Salut Gamin, je suis le frère par adoption des deux folles qui t'ont traîné ici, mon surnom est Cambert mais pitié appelle moi Alban, c'est mon vrai prénom ! Continua Le dit Cambert en se mettant face à lui.
- Enchanté, je suis William, dit il  rapidement, légèrement stresser, l'homme était imposant.
- La salle de bain est au fond du couloir à droite. >> s'exclama Clemie, repartant dans ce qui semblait être le salon, Cambert lui fit un sourire qui sembla légèrement effrayant, un gangster, l'homme ressemblait à un gangster ou à un homme de main particulièrement effrayant, le costard cravate rajouter de ce fait. William trouva la salle de bain rapidement, des vêtements plier l'attendais sur la chaise et malgré lui, il se sentit un peu gêné. Ne s'attardant pas, il rejoint rapidement la famille dans le salon, une douce musique berçant l'air alors que les deux femmes l'ayant accueillis danser un slow, William alla rejoindre Cambert qui était assis tranquillement sur le canapé, un livre de moto dans les mains. Et la soirée continua dans les rires, le repas préparé était spécial mais bon ét William fut invité à rester dormir. Une semaine, de pur bonheur pour William, continua ainsi entre les rires, les airs de musique dans la nuit, les jeux de cartes, les sortis dans la neige, les batailles de boules de neiges. Mais toute les bonne chose on une fin et son frère vient le chercher chez ses hôtes à la fin de cette semaine de bonheur, l'obligeant à partir. Mais la promesse de revenir les voir fut faites en secret. 11 ans avait passé depuis, mais lorsque William passer encore devant cette maison devenu froide depuis, il repensait à cette drole de famille et pensait à retourner les voirs. Peut être oserait il un jour, un peu plus loin, dans la France, une petite famille fêtait Noël aussi...

JOYEUX NOËL À TOUS, j'espère que vous avez aimé mon petit cadeau !

Ma famille à moiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant