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A bout de nerfs, à bout de souffle, je n'en peux plus mais je sourirais même pendant une bataille. La vie défile sans but précis, à chacun sa guerre, moi je reste debout !

Ils veulent me soigner mais ils ne savent pas où j'ai mal, j'ai fais de ma vie mon champs de bataille, chaque seconde est un combat contre la haine et la peine. J'ai mal mais faut pas que je m'en aille. Faut que je fasse le job.

Je me relève sans savoir où aller, malgré mes balaffres je suis toujours la même, des années que je saigne, oh non, ne me dis surtout pas "je t'aime" !

Certaines choses m'ont ouvert les yeux, et d'autres, je ne les ais pas vu venir. C'est pas les gens qui changent mais leur regards ... Même quand je suis déçue je reprends le dessus, même quand je suis à bout, je reste debout. Mais je ne te dois rien, j'ai tout fais de mes propres mains.

J'ai était trahis par ceux à qui j'ai tout confier, mes joies et mes peines, absolument tout ! Je n'oublie rien mais je persévère quand toi tu t'arrêtes au moindre faux pas. J'avance pour ceux qui croient encore en moi, ceux qui sont rester les mêmes malgré tout les dilemmes.

Si j'oublie quelque chose, rappelle-moi tout, secoue-moi s'il te plait !Si je veux partir, enferme-moi et jettes la clé ... Rappelle-moi les nuits que j'ai passée.Toutes celles que j'ai passée à pleurée seule le soir dans mon lit, pourquoi j'ai fais tout ça, où j'en suis, rappelle-moi ce que je me suis promis. Rappelle moi mes rêves, même les plus fou, rappelle-moi pourquoi j'aimais chanter, pourquoi je suis envie, qui je suis, rappelle-moi mes promesses !

Je vois la fin tout les jours, mais dis moi pourquoi je continus, j'ai tellement besoin de toi ... Tu sais, je t'aime et je te déteste, oh ça c'est sur ! Mais tu me manques tout le temps. Tu m'as brisée et personne ne pourras te remplacer malgré ça. J'ai ces sentiments que plus jamais tu ne croiras, je ne veux pas te laisser partir mais je sais que si je veux avancer il faut pourtant que je le fasse ... J'ai changer si tu savais, mais mes sentiments sont toujours rester les mêmes.

Je peux rester pendant des heures à regarder tes photos et à me rappeller nos souvenirs. Mais tu ne sais pas que ça me tue petit a petit mais ça, oh comme tu t'en fou, je le vois, ne le nie pas !

J'ai écouter personne et je t'ai toujours défendu, dans les bons et surtout dans les mauvais moments, j'étais là tout le temps, je me faisais du soucis pour toi et toi tu m'abandonnes comme ça alors que j'aurais donnée ma vie pour toi, juste pour te voir sourrire, pour de vrai ...

MES*TEXTES !Où les histoires vivent. Découvrez maintenant