6. Un plant?

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6. Un plant?

Il étair assit a table pendans que je fesais du café, j'avais eu l'impression que toutes les heures de someille que je n'ai pas eu me sont tomber dessues. je me suis assise en face de lui, ma tase entre les main, il m'avait dit qu'il n'en voulait pas. 

Moi: comment... comment tu es sortit?

Lui: j'ai fais un accord. 

Moi: quel genre d'accord?

Lui: je leur rend un service et il me relachait. 

Moi: qui ça, Ils?

en fais, je ne voulais pas savoir la raison. Mais, je devais savoir.

Lui: la procureur de la cours. 

Moi: quoi?

Lui: c'est la seule personne en pouvoir qui peut me faire sortir. 

Moi: de quoi de la cours? comme... de la prison? DANS la prison? je pensais que tu avais décider d'arrêter ce genre de...choses.

Lui; j'ai arrêter aussi.

Moi: Alors... je ne comprend pas.

Lui: je ne peut pas t'expliquer. je t'ai dis tout ce que je pouvais. 

je me suis assise au fond de ma chaise, essayant de repousser les souvenirs qui revenait en tête. 

Moi: je pensais que c'était fini. Que tu avais compris ou les secrèts menait. 

Lui: j'ai compris, je l'ai apris. Mais, je ne peut pas t'en parler. Pas sans leur demanders. 

Moi: leur, qui?! qui? Encore des personne croches qui vont te tirer au fond et t'ensevelir sous les dêtes, les problèmes et les ennuits avec la police encore une fois?

Lui: non.

Moi: je ne comprend plus. je ne comprend pas. je n'ai jamais rien compris. 

Lui: tu n'as pas besoin de comprendre, seulement de...

Moi: no Way! pas encore une fois, si tu pense que je vais encore jouer la petite fille obéisante encore Tu te trompe. 

Lui: tu...

Moi: j'ai changer. tout cela m'a changer. Je ne me plirais pas a ce que tu me diras d'es maintenant.  je ne suis pas...

Lui: Lili? tu n'as pas changer. 

moi: je te jure que oui. 

Lui: non, tu n'as pas changer. Tu as seulement découvert comment... t'exposer a ta vrai vérité. 

Moi: ah ouais? ma vrai moi était en fais une fille qui dort mal a chaque nuit, parce qu'elle a peur, que cette fille en question soit comme un robot? si c'est vraiment ce que je suis, alors, je ne veut pas être la vrai moi. 

il ne répondit, mais je pouvais voir la culpabilité dans ces yeux, d'un coté, je m'en réjouissait, ça me prouvais qu'il y avait vraiment penser et que mes mots n'ont pas passer comme un couteau dans le boeur. Mais, en même temps, je me haïssait mentalement pour le rendre encore plus coupable si il l'était déja. 

Moi: je suis désolé, je suis aller trop loin. 

Lui: non, tu as seulement... dis ce que tu pensais. 

Et puis, il y a eu un silence inconfortable. et il changea de sujet si on peut dire. 

Lui: c'est Zayn qui m'a dit que tu restait encore ici. 

j'ai hocher la tête, bien sur que Zayn lui avait dit. 

Lui: pourquoi?

Moi: pourquoi quoi? pourquoi zayn te l'as dis? je n'en sais rien, peut être que c'est parce que la denrière foistu l'as menacer de lui casser les deux jambe et que tu a réusie a lui casser un doigt en arrêtant son coup de poing par la suite. 

Lui: non.... (il soupira) pourquoi tu vis encore ici, si tu me "déteste". C'étais ma place. 

Moi: je ne te déteste pas (ai-je dis en chuchotant).  trop de souvenir pour partir, de toute manière, les souvenir suivent, je ne peut pas les effacer. 

Lui: ah. Alors, tu es rester. 

Moi: mais j'ai penser longtemps partir. Essayer de faire ma vie ailleur, par exemple, aux états unis, travailler, et puis, étudier, comme toutes une grande partie des personnes de mon ages font la bas. 

Lui: mais tu ne l'as pas fais. pourquoi?

Moi: je te l'ai dis, les souvenirs suivent, et continuerais a me démanger, à me ramener la triste réalité.

Lui: Tu aurais pus oublier. Oublier ces choses.

Moi: non. je ne peut tout simplement pas, le cerveau, ou bien, le mien plutot, est fais de manière à garder en mémoire tout ce qui m'a tromatiser, ce qui m'a fais peur... 

Lui: tu n'es pas seule alors. 

j'ai hocher la tête, et j'ai regarder mes mains entre les quels il y avais ma tasse de caffé qui avais déja commencer a refroidir. Et je me suis rendu compte que je n'avais même pas envis de le boire.

Lui: je vais leur demander si je peut te parler de... du plant. 

j'ai hocher la tête, sans rien dire, sans le regarder. 

Lui: mais, si tu es au courant de, de tout, tu ne poura plus reculer. Seulement avancer avec nous.

Moi: je sais. 

Lui; et tu veut toujours?

Moi: je n'en ai aucune idée. En fais, ce sera toujours mieux que de ne rien faire.

Silence. j'ai lever la tête, et je l'ai regarder, et  je l'ai vue avec une expression de questionement au visage. 

Moi: quoi?

Lui: je ne sais pas si JE suis d'accord pour... t'embarquer dans cela. 

Moi: oh non mon gars! Je te l'ai dis, tu ne décidera pas pour moi encore!

Lui: j'ai le droit de décider, C'est mon coup celui là.

Moi: parce que les autres n'étaient pas les tiens? c'étais Tous TES coups.

Il eu un silence, mais je voyais dans son visage qu'il ne savait pas quoi répondre, alors, il c'est lever et est partit, je l'ai suivit des yeux jusqu'a temps que je ne le voye plus. j'ai entendue la porte d'entrer claquer et puis, aucun son. il était partit, je me suis lever avec un soupire et j'ai jeter mon caffé dans l'évier, j'ai rincer ma tasse, et je suis aller me coucher sur un canapé, ou j'ai du m'endormir encore une fois.

In The Dark Of The Fear [✔]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant